Míshī fāngxiàng • art de combat prévu pour dérouter les grimms et simplifier la fuite en utilsant la connaissance du comportement l’esquive l'envirronement et divers coups genant la perception(genre le coude dans un oeil ou une baffe dans l'oreille)
GLYPH • pouvoir héréditaire de la famille schnee permettant de créer des points d'appui en l'air influencé par la dust et d'avoir recours a diverses invocation de par sa nature faunus il semble qu'amaranth puissent user de cet invocation pour invoquer directement sur son corps l'animal avec lequel elle est croisé (le tigre)

l’histoire d’Amaranth débute avant même sa naissance durant les études de son père Aquilus, un faunus d’atlas particulièrement chanceux, car il lui suffit de gants pour faire croire a son humanité. Ainsi il se lança dans des études de commerce avec le secret espoir de quitter cette ville en commerçant avec les autres.

Durant ses études Aquilus fit la rencontre d’une femme pulvera schnee, la cadette de la famille si connue pour son commerce de dust et son charme glacial. Bien qu’il fût faunus et donc par principe opposé a cette famille il fut par la force des choses et un professeur appréciant le hasard obligé de travailler avec elle sur un dossier au thème quelque peu provocateur « la dust et son utilisation a menagerie ». cependant durant les périodes ou ils travaillèrent ensemble il fut bien obligé de reconnaître qu’en dehors de son lignage pulvera était assez attirante et qu’elle ne semblait pas insensible non plus a son charme.

Ainsi les deux continuèrent de se fréquenter durant l’année, se rapprochant graduellement jusqu’à ce que l’amitié ne deviennent autre chose de plus puissant. Poussé par un besoin pécunier Aquilus demanda a pulvera si celle-ci pouvait l’aider. Elle lui offrit de la suivre dans ses vacances d’été en qualité de domestique. Cette offre d’emploi avait l’avantage de permettre aux deux de rester proche. Cependant un drame faillit avoir lieu.

Lors d’une sortie dans un cinéma le couple fut agressé par un bandit profitant de la sortie de la séance pour détrousser ceux qui s’éloignaient du groupe. Il aborda alors notre couple et leur demanda classiquement leur biens coûteux sous la menace d’un couteau. Notre couple s’exécuta mais le bandit avait apparemment envie de garder pulvera pour augmenter son gain. Aquilus refusa et esquissa un mouvement agressif. Le bandit planta son couteau dans une réaction de défense disproportionné. La réflexion embuée par la douleur et le stress Aquilus sortit les griffes et balafra le visage du bandit qui prit la fuite. Pulvera fut horrifié de voir son amour se révéler être parti de cette race inférieur. Son monde s’écroula devant une telle révélation devait-elle suivre ses sentiments ou son éducation ?

Aquilus vint vers elle et s’excusa de lui avoir caché ce détail. Il fondit en excuse et en larmes avant de s’effondrer de sa blessure. De retour a la conscience il se découvrit dans un hôpital, pulvera apparemment endormi en sursaut pendant qu’elle le veillait, les traits tirés par la fatigue. Une infirmière arriva dans la salle et lui apprit que la blessure était stabilisée avant de sortir. Pulvera réveillé par le passage de l’infirmière se redressa et prit Aquilus au cou lui annoncant qu’elle l’acceptait tel quel. Moment hypocrite étant donné qu’en observant ses mains Aquilus put se découvrir des ongles. Regardant Pulvera ce dernier la questionna des yeux. Elle lui expliqua qu’ainsi il n’avait plus à cacher ses mains, simplifiant sa vie et permettant de le faire intégralement accepter par la famille Schnee étant donné qu’il arrêterait avec cette lubie.

La suite fut plutôt calme les deux terminèrent leurs études de commerce tandis qu’Aquilus, de part son opération put ainsi se rapprocher plus simplement de ce monde des décisions et surtout de la famille de sa chérie. Les deux ouvrirent ainsi un service de poste entre vale et atlas. l’avantage étant qu’Aquilus pouvait ainsi réduire son temps passé a atlas. Avec le temps le service de poste fut plus ou moins rattachée au circuit de distribution de dust de la schnee dust industry, en tant que version plus anonyme et protégé que les circuits classiques de distributions.

Les problèmes ressurgirent lors de la grossesse de Pulvera chacun savait ce qui allait se passer a la naissance de l’enfant. Pulvera prétexta un besoin de calme et partit loin d’atlas, dans une maison achetée pour l’occasion avec un groupe médical trié sur le volet pour éviter des fuites d’informations sur cette grossesse malvenue. La grossesse passa avec une nouvelle plus angoissante encore l’enfant à naître était une fille. Ainsi la famille Schnee si elle venait à connaître le secret de cet enfant découvrirait un enfant contre nature qui en plus de ça serait considéré comme une souillure pour le don familial. Il ne faisait plus aucun doute que l’enfant s’il venait a être connu serait traqué et abattu. Prétextant une fausse couche Pulvera se ménagea du temps pour faire disparaître son enfant n’ayant pu se résoudre a l’avortement. La solution qu’elle trouva fut de faire de son enfant un anonyme parmi tant d’autre dans un village hors des influences des villes. Elle choisit alors un village très porté sur sa défense. On racontait que ce village était capable de détourner les attaques de Grimm

Ainsi Amaranth grandit dans une famille faunus d’adoption possédant le même trait animal qu’elle afin de dissimuler au mieux l’adoption. Elle ne savait rien de son origine prestigieuse et le village avait reçu tant de cadeau et d’aide aux développements qu’aucun d’eux n’avait envie de diffuser le secret. Cependant cet accord entre les parents d’Amaranth et le village, si bénéfique au village de par la connexion commerciale au monde qu’il offrait comportait deux clauses. La première était de faire d’Amaranth une experte dans l’art du village de détourner les attaque de Grimm. La deuxième était l’interdiction de former Amaranth a l’utilisation de son aura.

Amaranth découvrit alors le mishi fangxiang. Un art prévu pour masquer la différence entre les utilisateurs d’aura et les autres. Cet art n’a pas pour but de taper détruire ou maîtriser par le combat un Grimm, mais de fuir dérouter et manipuler les adversaires Grimm ou non. Cet art se concentre ainsi sur l’esquive, la déviation et la connaissance du comportement d’un ennemi ainsi que la prise d’avantage par l’environnement, par exemple pousser un Grimm à charger près d’un mur pour esquiver au dernier moment et se servir du mur comme d’un assommoir, ou mettre son coude dans un œil pour gêner la perception. Elle fut prise en main selon les termes du contrat et fut ainsi formé a l’utilisation de cet art de manière plus poussée que le reste des enfants de la communauté. Ce contrat amena logiquement Amaranth à avoir un certain niveau de préparation physique pour lui permettre de faire la garde du village.

Au début de sa vie elle fut assez tranquille. Elle suivit l’éducation de base des enfants de son village. Elle apprit a lire écrire compter discuter argumenter… a coté de ça elle fut présentée a son professeur de « sport » Rougo. Elle fut au contact de Rougo préparé a l’entraînement au mishi fangxiang. Ainsi elle développa dès le début de sa vie ses capacités musculaires et sa souplesse. Elle fut intriguée de voir que ses deux frères n’étaient pas acceptés dans son entraînement. Après avoir demandé a ses parents elle découvrit qu’un « oncle » avait vu en elle de grandes capacités que n’avait pas ses frères, et que ses parents avaient décidé de suivre le conseil. Attristé de voir ses frères mis à l’écart elle s’amusa à enseigner a ses frères ce que Rougo lui apprenait. Ainsi les deux frères se développèrent également physiquement et apprirent à se battre sommairement. Les parents découvrant la supercherie les engueulèrent sévèrement et interdirent a quiconque l’entraînement pour une semaine. Chose comique Rougo passait par la fenêtre pour continuer l’entraînement d’Amaranth. Résultat la punition n’eut pas vraiment lieu, vu que tout le monde finissait par continuer a s’entraîner sans que personne ne le sache

A ses 10 ans Amaranth reçut des bandages d’entraînement et ses frères des livres de sciences, philosophie, histoire… le message était assez clair elle s’occupait de taper, ses frères étaient là pour la matière grise. Au final le plus usité des cadeaux c’était les bandages pour continuer l’entraînement alors que les bouquins finissaient dans un coin a prendre la poussière. Chacun de ses enfants ressentait en eux avec de plus en plus d’insistance une force et tandis que ses frères avaient des cours avec les enfants de leur age pour apprendre a comprendre et maîtriser cette chose, pour Amaranth ces cours signifiait encore plus de temps avec Rougo pour toujours mieux maîtriser le mishi fangxiang. cependant aucun des trois ne développa d’aura étant donné que les cours donnés aux enfants étaient faits plus pour leur apprendre a se passer d’aura que pour réellement leur en apprendre l’utilisation,pour la fierté du village de pouvoir se passer de hunter et d’aura à la fois de par leur art ancestral.

De par les liens commerciaux le village reçut des migrations qui permirent ainsi a la science de s’adapter au mode de vie de ces personnes et ainsi d’intégrer des équipements de pointe a l’art de ce village. La garde reçut alors des armures de très bonne facture en triple couche, une intérieure pour le confort textile et thermique, une intermédiaire pour réduire les impacts et une blindée pour encaisser les impacts. Les pressentis a la garde reçurent des gants fabriqués selon cette technologie. Ainsi Amaranth reçut ses gants et commença à s’entraîner avec avant de les laisser dans un coin et de laisser ses frères jouer avec considérant que ces gants de par leur poids la gênait dans ses mouvements.

A ses 15 ans elle fut intégrée a la garde du village ou elle put alors découvrir la vraie utilité de cet art. Évitant ainsi plusieurs fois la mort elle eut parfois quelques déboires, comme l’esquive d’une charge qui termina dans l’enclos d’élevage et découvrit assez vite que le métier de garde était assez ennuyeux voire redondant, pour s’occuper elle tenta de se renseigner sur cette aura bien que personne n’accepta de la renseigner en lui indiquant que cette méthode était à laisser aux hunters pour qu’ils puissent frimer avec. Déçue elle décida alors de se renseigner sur les hunters et découvrit que les grandes villes possédaient des académies de hunters.

Elle s’empressa de demander a ses parents de l’y inscrire leur expliquant ce que les gardes lui avait dit et la chose qu’elle ressentait au fond d’elle-même. La réaction des parents fut pour le moins abrupte. Elle prit la forme d’une requête des parents pour retirer leur fille de la garde sur le terrain indiquant que l’y maintenir pourrait mener a une cassure du pacte qui permettait un tel développement pour le village. Dès lors le village prit peur et interdit a Amaranth toute forme de combat, ils firent a peine en sorte que Rougo puissent maintenir ses cours particuliers.
Cependant le village ne pouvait se permettre de maintenir une fille ainsi oisive. Alors ils surchargèrent Amaranth de cours théorique et de dossiers à construire. S’ils ne pouvaient exploiter les termes du contrat a leur avantage, le village ne les honorerait que dans un but strictement formel. La pauvre Amaranth fut prise dans un déluge de cours de math, de physique, d’histoire, de philosophie, de langues et autres dans le but de rattraper le temps perdu sur sa formation théorique qui avait été sacrifié pour lui ouvrir des plages horaires a l’entraînement. Cependant l’ambiance close des salles de travail et des bibliothèques déplu très vite a Amaranth habitué aux efforts et aux espaces extérieurs.

Les cours de Rougo devenaient pour elle une échappatoire qui lui permettait le temps d’un instant, de reposer sa tête et de relancer ses muscles. Elle questionnait d’ailleurs bien plus Rougo sur le monde alentour ses mystères et ses secrets et surtout sur l’aura et les hunters. Elle était fascinée par ces gens et son intérêt pour eux allait croissant a chaque mot que prononçait Rougo a ce sujet, en dépit du fait qu’il obstinait a ne jamais rien dévoiler sur l’aura. Ce trou dans les récits frustrait Amaranth qui voulait toujours plus en savoir sur eux, sur l’aura, sur le monde alentour et ses multiples aventures et puis surtout peut être que quelqu’un dans ce monde accepterait de lui expliquer ce qu’était cette force incompréhensible en elle. Était ce l’aura ? Était ce autre chose ? Pour elle une chose était sure, elle devait devenir hunter elle sentait que c’était là que se trouvaient les réponses et elle était bien décidée à aller les chercher. Elle se plongea alors dans ces exercices de géographie et de sciences sociales, a la recherche de ce qui lui permettrait de quitter proprement ce lieu sans qu’on puisse l’en empêcher. Elle était d’autant plus disposée à partir que ses parents avaient apparemment décidé de lui trouver un amoureux ici, et qu’il faisait ainsi en sorte de rendre leur fille aussi attirante que possible, la poussant a se faire aussi belle que possible chose qu’Amaranth répugnait de par le caractère futile et gênant que cela pouvait représenter. La question était toujours entière comment devenir hunter ?

La réponse vint du maire du village, intrigué de voir subitement Amaranth attelé a ses travaux avec tant d’ardeur. S’imaginant naïvement qu’un soudain sérieux scolaire s’était emparé d'Amaranth il lui ouvrit les portes des archives du village. Amaranth le remercia et fila voir les plans du village. Cependant dans sa recherche a travers les rayonnages elle tomba sur un livre au titre très curieux « les hommes du mishi fangxiang, sauveurs itinérants » l’aspect du livre amenait à penser qu’il avait été écrit au village et qu’il n’avait pas été prévu pour la diffusion.
Au fil des lignes Amaranth découvrit l’incroyable, des groupes décrits comme des moines itinérants passait de groupes d’hommes en groupe d’hommes à l’extérieur des villes pour transmettre leur art et leur conviction de l’inutilité des hunters lorsqu’un groupe de citoyens se montre capable de se défendre sommairement. Elle dévora le livre lettre par lettre, tant et si bien que rapidement elle ne sut quel camp rejoindre pour avoir sa réponse. Elle était devenue incapable de se décider sur qui pourrait la renseigner sur cette force tapie en elle, chaque jour plus pressante, et qui terrifiait de plus en plus Amaranth. Elle resta sur l’idée des hunters dans un premier temps mais retourna dès le lendemain aux archives. Cette fois elle ne cherchait pas une échappatoire, mais des informations sur ces gens. Elle découvrit leur nom les Retters et leur philosophie de rejets des hunters. Elle tomba sous le charme de cette idéologie certaine de la bonne foi de ce groupe en partie, car elle était elle-même la preuve que cet art qu’il portait avec eux fonctionnait. Elle ne savait ni leur nombre ni leur organisation mais a la lumière des documents qu’elle avait pu trouver elle se sentait déjà en partie Retters bien qu’une autre moitié resta farouchement convaincu que la solution ne se trouvait pas dans ce groupe d’énergumènes mais dans les écoles de formations de hunter.

La question ne cessait de la travailler tant et si bien que ses professeurs ne réussissaient plus a la mettre au travail. Tous sauf un. Rougo avait très vite perçu des changements théoriques dans la méthode de combat de son élève, sachant pertinemment qu’aucun autre ne pouvait enseigner cet art a des kilomètres a la ronde il en vint a la conclusion que quelque chose avait été entre les mains d’Amaranth. Il questionna alors la jeune fille qui lui répondit qu’elle avait découvert un groupe incroyable qui parcourait le monde pour aider les gens a se passer des hunters dans une noble intention d’émancipation de chacun et de tous et encore un tas d’autre chose plus flatteuse et flou qu’objective et réfléchi. Rougo comprit alors que la demoiselle devant lui était très certainement tombé sur un livre particulièrement flatteur et certainement très peu fidèles a la réalité, car ce groupe d’itinérants c’était lui et l’actuel maire du village ni plus ni moins

deux jeunes hommes fougueux que le monde n’effrayait pas et qui aveuglé par la folie des grandeurs s’était mis en tête de diffuser leurs bijoux au monde, un art incroyable qui libérait le peuple de la tyrannie du système des hunters en offrant a quiconque la capacité de se défendre contre le plus grand fléau de leur époque. Du moins c’est ce qu’il pensait a l’époque mais bien vite les deux jeunes s’étaient heurté a la réalité et avait fini ici à peaufiner leur art grâce à la sympathie d’un maire alors curieux de ce qu’il avait vu. Amaranth n’était pas convaincu par les Retters mais par Rougo et son compagnon aveuglé par la fougue de la jeunesse.

Cependant Rougo y vit une opportunité. En effet si Amaranth finissait Retters elle donnerait libre cours a sa volonté de quitter le village pour voir le monde mais à l’inverse du scénario de la formation hunter elle finirait entouré de gens dénigrant les hunters et fier de passer outre le système qui de fait, n’hésiterait pas à glorifier Amaranth pour ses prouesses martiales dénués de toute aura. Au moment où cette pensée lui traversa l’esprit Rougo réprima un rictus de satisfaction et se mit à questionner plus encore Amaranth, mais cette fois non plus pour savoir quelque chose mais pour orienter la gamine dans une certaine direction.

Les entraînements d’Amaranth et Rougo devinrent alors un jeu de dupe pour Rougo qui sous son masque d’entraîneur cherchait à pousser Amaranth à faire le choix des Retters plutot que celui des hunters, sans pour autant en avoir l’air. Dans l’ombre pourtant Rougo réactiva ses vieux réseaux de connaissances avec l’aval des parents biologique d’Amaranth, toujours à veiller sur le village de loin.

Un plan particulièrement risqué fut alors mis en place par Rougo, les parents d’Amaranth devait laisser fuiter des informations a la famille Schnee dans le but de voir envoyer un assassin de la famille remettre de l’ordre dans l’arbre généalogique aussi discrètement que possible. De son côté Rougo se chargeait de ramener des Retters qui en sauvant miraculeusement la mise a Amaranth s’offrirait ainsi ses bonnes grâces. Pour une obscure raison Aquilus et Pulvera acceptèrent et bientôt le village fut encerclé de Retters aux aguets attendant l’arrivée d’un assassin. Lorsque celui-ci arriva il surprit les Retters en s’avançant dans la forêt répétant a qui voulait l’entendre le plan de Rougo. surpris un Retters se risqua à se montrer, s’effondrant la seconde d’après d’une mort incertaine.

Une chose était sure le plan avait fuité et a présent la famille Schnee savait ou était la gamine et qui la protégeait. Dans un mouvement de panique général les Retters se replièrent vers le village, pour le découvrir pris d’assaut.

Le plan était un échec mais Amaranth s’en sortit grâce à ses deux frères les deux était certes bien différent mais avait en commun d’aimer filouter dans les grandes villes. Chose qu’Amaranth leur enviait fortement et qui leur sauva la mise de par la discrétion que les deux frères imposèrent a Amaranth. Plus avant sur le chemin ils tombèrent sur Rougo et le maire, couvert de suie de sang et de balafres. Dans leur dos le village était mis a sac par ce qui semblait bien être une armée aux trousses de la bâtarde. Tous le savaient sauf une qui sentit soudain sur elle des regards culpabilisants dont elle ne pouvait comprendre le sens.

Une chose était certaine la vie tranquille était fini et il fallait trouver ou se cacher au plus vite. Ils trouvèrent ainsi refuge dans une planque Retters situé dans les égouts de Vale accessibles depuis l’extérieur de la ville, guidé par les deux anciens. Ainsi Amaranth se trouva un peu malgré elle forcé d’accepter l’idée du camp Retters, comprenant que cet événement tragique était lié à elle d’une quelconque manière et que son retour au grand jour risquait fort de répéter une telle tragédie et surtout elle n’avait pas le temps de s’ennuyer. Il suffisait qu’elle tende l’oreille pour comprendre que quelque chose se préparait ici,quelque chose qui ne pouvait se faire dans des lieux plus communs…