Venez explorer le monde de Remnant et percer ses mystères, vingt années avant le début de la série animée à succès RWBY
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Danse, danse douce rose, dans un tourbillon sans fin. Au risque que si un jour tu prennes la décision de t’arrêter, le monde s’écroule de nouveau autour de toi. A moins qu’il s’écroule déjà car tu as pris la décision de danser?Abigaëlle n’est plus ce qu’elle était, tout du moins, depuis que son esprit refuse de prendre la moindre décision. Avoir ainsi vue durant sa vie ses choix avoir à chaque fois un impacte entrainant la souffrance des gens qu’elle aime, décider même juste pour elle-même devient une infâme torture pour notre Huntress. C’est une spirale sans fin dans laquelle se plonge de plus en plus la jeune femme qui ne sait plus sur quel pied danser. Initialement, la fille Zielonnï était une douce Dame pleine d’optimisme, le genre à voir toujours le bon côté des choses quelle que soit la situation. Aussi difficile que cela puisse t’être. Mais même un cœur remplit de force peut, lui aussi, se fragmenter à force de ressentir de la souffrance, encore plus quand elle pense que c’est à cause d’elle. Et c’est ce qui est arrivé, quand un fois de trop, sa décision aura eu un impact négatif sur une personne qu’elle aimait. Une fois de plus la jeune femme avait été incapable de faire la bonne décision et de nouveau une vie s’est volatilisée. Et le poids des morts est toujours l’un des plus lourds. Notre protagoniste a perdue une certaine foi en elle-même et en demain. Les maigres espoirs qui persistent sont des fines lignes d’une fragilité terrifiante. Aujourd’hui est devenu pour elle un fardeau par une responsabilité qu’elle ne souhaite malgré tout pas quitter, et demain sera probablement encore plus lourd à porter si ses choix n’arrivent pas à servir correctement. On peut facilement voir dans son regard le manque de vivacité qui l’animait autrefois, tout comme on peut facilement voir son manque de sourire dans ses interactions. Pourtant, malgré les fardeaux, malgré la douleur, Abigaëlle possède encore une chose qui lui permet, le temps de quelques minutes, d’oublier tout ce qu’il se passe. La danse. Il n’y a rien de mieux à ses yeux que cet art magnifique. Lorsque la musique se lance, par des musiciens ou par sa propre voix, la fille Zielonnï fait en sorte d’enfermer son esprit et de libérer ce qui sommeille en elle dans l'enchaînement des pas. C’est peut-être le seul moment où l’on est capable de retrouver l’état normal de celle originaire de Vale. Parfois, plongée dans la folie de l’instant, notre douce fleur est capable de danser jusqu’à l’épuisement total, jusqu’à ce que ses pieds n’en puissent plus et jusqu’à ce qu’elle s’effondre. Mais hélas parfois, la danse n’est pas possible, et dans ces moments la il arrive que notre douce fleur hésite à se perdre dans les plaisirs de la vie pour s’égarer de nouveau et juste, oublier.Cela rejoint d’ailleurs une partie de l’essence même de la fille des Zielonnï. Ce besoin perpétuel d’être active. Ce besoin de toujours bouger, de faire quelque chose, de mettre son corps dans un état de fatigue avancée. Avant comme maintenant, notre protagoniste n’est pas du genre à rester immobile, au contraire. Si au tout début s’agiter était une façon pour elle de se sentir vivante, actuellement cela reste une façon de ne plus penser aux tiraillements de sa morale. Un corps et un esprit occupés offrent le meilleur des remèdes il paraît.Si initialement Abigaëlle était plutôt du genre taquine, sa façon d’embêter son entourage est devenue un peu plus cynique comme un reflet de sa personnalité changeante. Voyant moins de lumière, elle risque d’un peu plus se tourner vers une façon de s’exprimer pouvant un peu démoraliser son entourage. Pourtant, dans ses moments plus hauts il lui arrive de retrouver ses petites touches personnelles, tout comme il peut lui arriver en de trop rares occasions d’illuminer son entourage avec son délicat sourire.Dans certains pans de la personnalité d’Abigaëlle l’on retrouve une certaine joie touchant à l’apprentissage et au fait de pouvoir bouger. Cela dit, la solitude est parfois difficile à porter et c’est ce qui rend les moments seule plus dure quand il faut encore plus réfléchir à ses actions. Même si son ouverture a prit un terrible coup dans l’âme, son envie de toujours bouger couplé à son envie de s’épuiser physiquement lui offrent cette petite touche ravissante d’une femme pleine d’énergie. La fille Zielonnï est une personne qui porte aussi une immense importance à la mémoire des disparus. Parents, familles, amis, proches… Qu’ils soient morts ou hors de sa vie, il est impossible pour notre protagoniste de les oublier, considérant que chaque personne qui aura marqué sa vie est quelqu’un d’important et qui mérite donc une façon d’exister encore proche d’Abigaëlle comme un objet, un tatouage, des paroles ou même une danse.
Abigaëlle est une femme que l’on pourrait qualifier d’assez svelte. Femme caucasienne faisant un mètre soixante-dix l’on y retrouve une soixantaine de kilos. Pourtant, cela ne l’empêche pas d’arborer une certaine musculature qui se retrouve surtout au niveau des jambes et des bras, les principaux outils qu’elle travaille à longueur de journée pour combattre. Quand on observe notre délicat petit agneau,on voit une chevelure brune aussi noir que l’abysse le plus intense et suffisamment longue pour descendre en dessous de ses fesses. Pour hypnotiser les gens qui décident de rester un peu trop longtemps sur son visage, l’on retrouve des yeux d’un bleu aussi intense qu’un ciel clair qui s’accompagnent de légères cernes, signe d’un manque de sommeil. Au milieu du visage, un nez assez fin et pointu sans que ce ne soit non plus trop marquant, comme ses lèvres fines d’un rose aussi proche que possible de sa couleur de peau.Et en parlant de sa peau, ne voyez vous pas tout ce qui la marque aussi durement que l’acier? Les cicatrices, symboles de ses combats, symboles de ses échecs et réussites qui se trouvent un peu partout sur son corps? Sans parler de ses tatouages comme l’immense glyphe sur son dos? Chaque traits peints sur sa peau est un élément indélébile de sa vie. Et trop souvent de ses échecs. Ses échecs d’ailleurs la pèse, et cela se voit dans sa façon d’être. Lointain était l’époque de la droite Abigaëlle maintenant trop souvent courbée. Lointain était l’époque de la joviale Zielonnï maintenant à l’apparence plus triste. Un sourire? Vous devez rêver. Un rire? Sûrement le vent. Son visage est bien souvent neutre, quand il ne pleure pas. Son corps est bien souvent recourbé, quand il ne tremble pas. Bien entendu tout cela n’existe plus quand elle se bat ou quand elle danse, car se sont les moments où la jeune femme oublie tout et que son corps reprend les commandes pour briller. Un dernier détail qui touche notre brune aux cheveux de jais c’est bien sa voix aussi douce qu’un nuage et capable de charmer délicatement, après tout une danseuse qui chante, n’est-ce pas la, le meilleur des mélanges?
Chakram • Sous ces jolies cerceaux que l’on pourrait qualifier d’équipement adorable se trouve en fait quelque chose de nettement plus dangereux. Les Chakram sont en fait des armes qu’équipe Abigaëlle. Lorsque vient le moment d’affronter l'adversité, elle peut déclencher un mécanisme pour faire sortir des lames. Au nombre de deux pour cinquante centimètres de diamètres, ces armes se combinent bien avec la grâce et la mobilité de notre protagoniste lorsqu’il faut combattre au corps à corps. Mais, cela dit, ce n’est pas que leur seule utilités. En effet, ils peuvent-être envoyées contre les cibles pour s’enfoncer et lacérer ce qui offre à notre douce fleur la possibilité de se défendre aussi à distance. Bien lancée, ils peuvent revenir à leur propriétaire comme un boomerang.Cela dit, mal maîtrisé, on arrive sur un problème de taille. Car si l’arme se bloque, est attrapée ou immobilisé, Abigaëlle peut rapidement se retrouver avec un désavantage Bunny Girl • La semblance d’Abigaëlle lui permet d’amplifier la force de projection de ce qu’elle touche ou d'elle-même. Ainsi, après une certaine canalisation, elle pourra sauter bien plus loin afin d’accéder plus facilement à des zones hautes ou pour esquiver ses adversaires. De même, lancer un objet plus fort et plus loin lui offriront un meilleur atout dans les combats comme avec ses griffes qui peuvent devenir aussi dangereuses que des tires. Cependant dans les quelques soucis qui peuvent toucher les utilisations d’une telle capacité, l’on retrouve les sauts qui ne pourront pas changer de trajectoire. Ainsi, face à un piège, il sera quasiment impossible pour Abi’ d’esquiver. L’amplification ne peut dépasser trois fois la valeur initiale de projection.
L’on rêve bien souvent de la petite vie paisible, des parents qui se vouent un amour parfait, le genre à faire battre une multitude de papillons dans son estomac. Le genre d’histoire de rêve qu’Abigaëlle elle même lisait quand elle était petite avant de se rendre compte d’à qu’elle point les histoires sont bien souvent plus belle que l’existence… Et qu’il faut savoir vivre avec, tout du moins, au maximum. Ses parents, James et Violette, habitants de Vale, ne s’aiment pas. Ou tout du moins, ils ne se supportent plus. Depuis la naissance de la jeune fille c’était devenue des nuits entières de disputes pour savoir ce qu’il adviendrait de la brunette. Sa mère, Huntress voulait que son enfant suive sa voie, devienne forte, indépendante. De son côté, son père voulait que sa fille elle-même choisisse son destin. C’est cette question qui vint à définitivement briser le couple alors que la jeune Zielonnï n’était qu’un bébé qui vint à se retrouver ballotée entre la douceur et les conseils du père et la rage et l’envie de la mère. Et forcément au milieu de tout ça, la petite Abi’, terrifiée préféra toujours vivre des moments paisibles avec son paternel. C’est d’ailleurs avec lui que notre brunette développa son amour pour la danse. Bien vite, il était évident que cette petite avait un talent incroyable pour se mouvoir au rythme de sa propre voix ou de la musique qui l’entourait. C’est en voyant sa descendante heureuse que son père fit en sorte de l'entraîner là- dedans plutôt que de vouloir la laisser à l’envie grandissante de sa mère. C’est en voyant Abigaëlle s’éloigner d’elle que sa mère, que, aux sept ans de vie de notre protagoniste, elle lui posa l’ultimatum. Choisir entre la voix des Huntress ou la Danse.Et cette question ne fût clairement pas difficile pour la brunette qui, bien qu'attristée, préféra se tourner vers ce qui lui faisait envie quitte à faire du mal au cœur de Violette. Préférant faire plaisir au regard du monde avec ses pas qu’une vie de combats. En colère, sa mère décida de quitter momentanément la vie de ce qu’elle considérait être son ex famille, laissant ainsi son ancien époux et sa descendance dans leur “erreur”. Pendant trois ans, jusqu’aux dix années d’Abigaëlle, cette dernière vint à se développer sans problèmes. Dansant aussi longtemps qu’elle pouvait. On voyait déjà d’un certain œil les progrès et le talent de cette petite étoile qui se présentait déjà. Un soir, lors d’une petite représentation faite pour évaluer son niveau, notre protagoniste montra de nouveau tout son talent, comme si elle ne faisait qu’un avec la danse. Fière de sa réussite, la jeune femme s’était déjà dirigée pour espérer retrouver James à l’extérieur. Mais hélas, aucune trace de ce dernier. Ni dehors, ni chez eux. C’est donc dans la peur et l’attente que notre petite brunette attendit, heureuse, le lendemain matin d’entendre une porte qui s’ouvre… Pour laisser place à sa mère. Cette dernière fût instigatrice de mauvaises nouvelles. Son père était décédé, assassiné pour être précis. Dans son attente de sa fille, il avait trouvé le trépas. Par qui? Par quoi? La Huntress ne trouva rien d’autre à faire qu’un haussement d’épaule pour signifier qu’elle n’en savait rien. Quoi que, si, elle savait un truc. Ceci ne serait probablement jamais arrivé si Abigaëlle l’avait suivit elle dans sa véritable destinée plutôt qu’à faire jolie dans des robes à danser pour des imbéciles. Son père serait toujours en vie sans aucun doute si elle n’avait pas fait ce choix égoïste de vivre pour elle plutôt que pour le monde. En larme, la brunette vint à s’en vouloir. Prise dans les critiques de sa mère, cette dernière vint à lui proposer une nouvelle fois de la suivre dans son chemin à elle. Pour éviter d’autres problèmes dans ce genre. De devenir une Huntress et ainsi protéger efficacement. Et cette fois-ci, la main tendue fut acceptée par notre protagoniste.Finalement la danse avait été un atout. Ce que la brunette manquait en force, elle le compensait en agilité et en rapidité. Mais pour compenser les trois années de retard sur ce qui avait été prévu en entraînement, elle fut épuisée à la tâche. Car après tout, une bonne journée n’est terminée que si l’on arrive pas à se relever. C’est même une phrase qui, tellement elle fût répétée, devint un crédo pour notre guerrière en devenir. Sa formation dura ainsi huit longues années. Que ce soit auprès de sa mère quand elle était la, ou par des amis de cette dernière qui étaient largement pire dans leur façon d’enseigner. Formée au maniement des armes, formée selon la volonté de sa génitrice, Abigaëlle en souffrait cruellement, rattachant finalement son esprit qu’aux rares moments où elle pouvait danser, aux rares moments où son esprit s’enfuyait vers une contrée douce. Quand enfin elle fût considérée prête, on l’envoya alors à l’académie pour sa formation. En quittant enfin les bras maternelle, la future guerrière espérait simplement continuer de grandir sans devenir comme celle qui l’éduquait. Intégrée dans une nouvelle équipe, Abigaëlle fût heureuse d’être enfin loin des tyrans qui la formait. Heureuse d’avoir de nouveaux visages après autant d’années à ne voir que les mêmes. Que ce soit les professeurs, les autres étudiants ou les membres avec qui elle allait devoir monter et apprendre, c’était en face d’elle un nouveau monde. Ainsi fit-elle de son mieux pour s’intégrer et donner son maximum.Si au début tout se passait bien, la nouvelle découverte de sa Semblance, ses moments délicats de danses avec sa capitaine qui devint une amie proche et l’envie de se surpasser aidant énormément, bien vite le fleuve tranquille devint un torrent difficilement contrôlable. A chaque entraînement et missions les avis se mettaient à diverger. Certains étant pour l’efficacité froide et brutale quand d’autres, comme Abi’, préféraient la douceur et le soutien. Deux contre deux, c’était à chaque fois la capitaine qui tranchait pour agir. Si au début cette dernière se rangeait du côté de la danseuse, les choses changèrent. Car à chaque fois que l’avis était suivi, tout se passait mal. Blessures, complications, c’était presque à se demander si la brunette ne portait pas la poisse, à tel point que sa voix fût mise au silence, et ses avis tout simplement évités. Attristée d’être mise en partie au placard, la combattante fit malgré tout de son mieux pour devenir une Huntress, et à la fin des quatre années son équipe était suffisamment efficace pour valider cette entrée dans ce nouveau monde. Fière d’elle, sa mère revint la voir, félicitant sa descendante d’être enfin devenue une personne efficace malgré ce qu’il semblait être des défauts qui ne partaient pas comme son trop grand cœur. A partir de cet instant, la brunette continua de s’éloigner de sa mère, préférant un peu plus tourner autour de son ancienne capitaine avec qui, malgré les quelques trahisons, restait probablement ce qui se rapprochait le plus d’une amie. Lorsque c’était possible dans leurs vies, après leurs missions, elles se retrouvaient pour danser ensemble ou simplement discuter. Des sessions qui faisaient du bien à Abigaëlle pour qui, chaque opération contre les Grimms était, à ses yeux, un échec. Encore une fois, chaque décision l’amenait à un mauvais embranchement. Fallait-il rester avec une victime qui venait d’être blessée? Bravo, ailleurs la situation provoquait un plus gros carnage. Fallait-il au contraire y aller? Bien jouée, une morte de plus pour une finalité peu satisfaisante. Morts, blessés, qu’y avait-il de beau dans cette lutte qui lui semblait si absurde? Pourquoi sa mère avait-elle tant voulu qu’elle aussi suive tout ceci? Les années passaient, et alors que notre protagoniste atteignit son vingt-quatrième anniversaire, alors qu’après un nouveau drame la brunette trouvait du réconfort en compagnie de son ancienne capitaine, une interruption. Celle de sa mère, encore une fois. Tyran incapable de laisser sa descendante respirer.Après tout, bien entendu que sa mère était en colère de voir ainsi sa fille passer du temps avec une imbécile plutôt que de continuer sa traque. Bien entendu qu’elle serait en colère de toujours voir en sa chair et son sang cette… Fragilité, cette stupide chaleur. Pourtant, elle avait espérée qu’elle grandisse, qu’elle évolue, mais peut-être pour qu’enfin elle puisse devenir une véritable Huntress il faudrait tuer son ancienne capitaine comme elle avait tuée son père il y a longtemps.Choquée, Abigaëlle n’était sûre d’avoir bien entendue. Sa mère était-elle responsable de la mort de son père? Une rage sourde, profonde se mit à naître en notre protagoniste qui, aidée de son amie, affrontèrent l’horrible rapace. Si la supériorité numérique était un atout, le talent et les compétences de la mère Zielonnï compensait en partie, mais pas assez. Vaincue, à terre, notre brunette eut alors l’occasion d’éliminer la responsable des nombreux malheurs de sa petite vie. Pourtant… Cela lui semblait impensable de mettre fin aux jours de sa mère. Et ce doute, ce choix de laisser la vie sauve à la meurtrière se retourna contre elle. Profitant de ce moment de flottement, Violette utilisa sa Semblance pour repousser sa fille dans un coup suffisamment intense pour l'assommer momentanément pour mieux viser et achever l’ancienne capitaine d’équipe. Après tout, sa génitrice ne souhaitait pas la mort de sa fille. Juste qu’elle atteigne son plein potentiel. Mais cette puissance la n’était pas encore présente. Car elle avait laissée Violette en vie, et ce choix, ce stupide choix avait encore une fois coûtée la vie à à quelqu’un de cher pour Abigaëlle. Fuyant la scène, laissant sa fille toute seule, cette dernière n’en pouvait plus. De sa vie, de sa mère, de ses choix… Tout était une roue sans fin absurde qui la rendait folle… Prenant une dernière fois dans ses bras son amie, s’excusant d’être aussi inutile, elle déposa un léger baiser sur son front. Et depuis cet incident, même si la brunette continue d’aider les gens, il est difficile de retrouver en cette Huntress un véritable éclat de lumière
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