RWBY : New Dawn
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Murasaki Kuuran - This is where light ends
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Invité
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MessageSujet: Murasaki Kuuran - This is where light ends Murasaki Kuuran - This is where light ends EmptyJeu 21 Sep - 23:18
Murasaki Kuuran
FT. Kuuran de Manon Ash

Âge : Sais pas encore
Genre : Femme
Groupe : Huntsmen and Huntresses
Situation familiale : Pas de famille actuellement (peut-être parent éloignée de Kouhaku Kuuran)
Semblance : La semblance de Murasaki, Aura lui permet de contrôler et ressentir l'aura présente autour d'elle (la sienne et celle des autres de façon limitée).
Description complète ici (bientot)

Arme : Sting est composée de quatre lames d'une dizaine de cm chacune qu'elle manipule à l'aide de son aura.
Description complète ici (bientot)
Caractère

Écrire ici, au moins 300 mots

Physique

On me demande souvent comment je me décrirais. Voici donc de quoi vous faire une idée. Je vais commencer par la base, ma taille est de 1 m 60 environ et je pèse dans les 50Kg. Une personne me regardant verra une jeune femme d’une vingtaine d’années portant une tenue pouvant être qualifiée de courte. Un débardeur couplé à un mini short tous deux de couleur sombre. Mais son regard sera vite attiré par l’ample veste violette dont les manches avalent mes bras au point de faire disparaître mes mains. Sa capuche, constamment rabattue cache mes cheveux ainsi qu’une partie de mon visage, laissant toutefois entrevoir le bandeau qui masque mon regard. Les plus observateurs remarqueront probablement la parure aux reflets métalliques formant une croix au niveau de ma poitrine. Mais ce qui retiendra vraiment leur regard sont les étranges chaussures qui ornent mes pieds. Désignées pour optimiser la quantité d’aura utilisée pour me déplacer elles ont un air d’hoverboard et semblent beaucoup trop grandes pour mes pieds.
Parlons maintenant de la partie de mon anatomie que seules peu de personnes on pu voire, mon visage. Si je retire cette capuche ainsi que ce bandeau vous découvrirez des cheveux mi-longs dont la partie droite à entièrement blanchi ainsi qu’une trace de brûlure sur toute la partie habituellement cachée par le bandeau. Mes yeux également ont une teinte inhabituelle. Mes pupilles autrefois bleues donnent l’impression d’avoir été décolorées jusqu’à devenir presque blanches.


Histoire (80%)

C’est encore l’une de ces nuits. Celles où je me rappelle ce pourquoi je me bats. L’origine de cette soif incommensurable de vengeance. Le rêve commença aux alentours de mes six ans, comme toujours. Quelques images de ma vie avant me revenaient, un visage flou appartenant à une femme, probablement ma mère, un homme et un petit garçon. D’après ce que l’on m’a raconté il s’agissait d’un petit village implanté à quelques jours de Vale.

La scène suivante remonte à la période de mes six ans. Cela s’est passé durant la nuit du 11 septembre. Lorsque je me suis réveillé on pouvait voir comme en plein jour. Je me souviens encore de l’intensité de la lumière à ce moment-là. Je me souviens également du bruit. Des cris de panique mêlés aux crépitements du feu. Et par-dessus cela, un rire. Un rire hystérique de ceux qui vous glacent le sang. Je me souviens des grognements des Grimms et de la voix les incitants à massacrer les habitants de mon village. Les murs de ma maison rougeoyaient, menaçant de s’effondrer à tout moment. Il n’y avait pas de trace d’une quelconque forme de vie. Mon instinct de survie me dictait de courir hors du bâtiment. Décision que je regrette encore maintenant tant le spectacle qui m’attendait était atroce. Rien n’aurait pu me préparer à cela. Je m’étais saisie du coutelas de mon père afin de me rassurer et ouvrit la porte.

La lumière à l’extérieur était encore plus forte. A tel point que c’en était éblouissant. Immédiatement une  odeur de sang et de mort me pris à la gorge. Je tombais à genoux pour vomir tripes et boyaux. Je commençais à me relever pour m’enfuir quand je le vis. Un homme. Il était allongé sur le sol et me fixait d’un regard vide. Son visage était blême. Au-dessus de son corps sans vie un Beowulf savourait ce qu’il restait de ses entrailles, les déchiquetant violemment à l’aide de ses crocs. Un hurlement silencieux me monta aux lèvres. Aucun son ne sorti, il n’y avait plus d’air dans mes poumons. J’étais à bout de souffle. Sans que je m’en rende compte des larmes s’étaient mises à couler le long de mes joues.

Maitrisant difficilement mes mouvements je me mis à courir en ligne droite. Je mis toutes mes forces pour partir le plus loin possible de ce carnage. Dans la panique et au milieu du carnage je trébuchai sur l’un des nombreux corps. La seconde suivante je chutais la tête la première. Je revois encore mon visage se rapprocher de la poutre enflammée tombée à cet endroit. Je ressens encore cette sensation d’impuissance. L’incapacité de réagir face à la situation, de simplement fermer mes paupières. Le choc fut brutal, ma tête heurta le bois au niveau de mes yeux. La suite n’est qu’une intense sensation de douleur. Je roulais immédiatement sur le côté, me tenant les yeux et poussant un hurlement strident. Je ne pris même pas conscience que mes cheveux encore au contact des flammes commençaient à bruler. Je repris légèrement conscience lorsqu’une personne me versa un sceau d’eau sur la tête pour éteindre les flammes. C’était une femme. Je ne voyais déjà presque plus. Elle se mit à rire. Le même que précédemment. Elle ne prononça que quelque mots.

« Souviens-toi bien de mon nom et préviens les autres. Valerya Nightbringer viendra les chercher. »

Ce nom se grava dans ma mémoire et y restera à jamais.
Comme à chaque fois je me réveille en sursaut, couverte de sueur.

Il fait noir.
Il fait noir depuis ce jour.

Je me suis réveillée un peu plus tard, une odeur atroce flottait dans l’air. Il s’agissait d’un mélange de chair brulée et de sang. Je fus prise de haut-le- cœur mais je n’avais plus rien à vomir. J’ouvris mes yeux pour regarder autour de moi. Rien. Je ne voyais rien. Cela était contradictoire avec le fait que je ressentais les rayons du soleil me chauffer mes bras nus. Je ne voyais plus rien. Je me relevais et me mis à marcher tout droit d’un pas hésitant, trébuchant au moindre obstacle. Mes pieds sans chaussures me faisaient souffrir. Cependant je continuais. Tâchant de trouver la sortie du village puis la route. J’avais faim. J’avais mal. J’étais emplie d’une immense tristesse. Mais le sentiment qui prédominait était la rage. Contre cette femme qui m’avait tout pris. J’avançais à petits pas, ressassant son nom en boucle pour m’assurer de ne jamais l’oublier. Un jour je la retrouverai et je la tuerai de mes propres mains.

Après cela je fus récupérée par des huntsmen envoyés en mission de sauvetage et envoyée à Vale d’abord dans un hôpital puis dans un orphelinat. Je n'ai pas grand chose à dire sur cette période si ce n'est que j'ai été assez seule. Les autres enfants avaient peur de mon apparence et préféraient garder leurs distances. La partie brûlée de mes cheveux avait repoussée en blanc et je commençais légèrement à m'habituer au fait que j'étais aveugle.

L'année de mes 12 ans je m’enrôlais à Signal afin d'apprendre à me battre. Me faire accepter ne fut pas facile. Les professeurs étaient relativement sceptiques concernant mes capacités de combat aux vues de mon handicap mais ma détermination finit par les convaincre.

Le jour de la rentrée fut également le jour ou je quittai l'orphelinat. En guise de cadeau d'adieu ils m'offrirent un bandeau à placer devant mes yeux ainsi qu'une veste beaucoup trop grande pour moi dont la capuche masquait mes cheveux ainsi que la partie haute de mon visage.

La première journée de cours avait consisté en une brève explication de ce qu'étaient l'aura ainsi que les semblances. En fin d'après-midi les élèves ne les ayant pas encore débloqués furent pris à part pour le faire.

Lorsque le professeur chargé de moi s’approcha je senti son regard chargé de dédain posé sur mon dos. L’homme s’approcha rapidement et se planta face à moi.

« Regarde-moi. »

Cela avait été dit d’un ton autoritaire et sans appel. Je levais prudemment la tête dans sa direction.

« C’est donc toi l’aveugle. Retire ce bandeau. »

Je rabattis alors ma capuche puis enleva le bandeau d’un geste peu assuré, tournant de nouveau mon visage dans sa direction.

« Dis-moi pourquoi tu es là, pourquoi te battre alors que tu en es incapable ? »

A ses mots une boule se forma dans ma gorge. Une angoisse que je n’avais pas ressentie depuis longtemps remonta. Angoisse qui se transforma rapidement en rage.

« Valerya Nightbringer. »

Les deux mots avaient été prononcés d’un ton très bas, presque inaudible. La violence et la détermination qui se dégageait de ces paroles étaient telles qu’il recula d’un pas. Il eut un léger rire nerveux avant de reprendre.

« On verra bien si tu t’en sors. Maintenant passons à ton aura. »

Il posa une main sur ma tête et sembla se concentrer. Une sensation de chaleur commença à se répandre dans mon corps apportant avec elle une sensation de bien-être et de sérénité que je n’avais pas ressentie depuis longtemps. Mon corps commençait lentement à se détendre tandis qu’une grande fatigue m’envahissait, presque irrésistible. Je m’assis lentement sur le sol savourant ces sensations, sachant qu’elles allaient bientôt disparaître. Une fois ce moment passé je me relevais péniblement et remis mon bandeau.

« C’est une incroyable aura que tu as là jeune fille. »

Cette fois-ci il avait parlé d’une voix impressionnée. Je fus ensuite reconduite à mon dortoir. La journée était terminée.

Là j’essayais de prendre conscience de cette aura dont on nous avait parlé. Il me sembla alors voir un amas de lumière tout autour de mon corps. Je ne le voyais pas vraiment mais je savais qu’il se trouvait là. Je sentais également son contact avec mon lit sous moi, avec l’air qui m’entourait. Je me concentrai et tenta de l’étendre. Ce fut très dur, au début cela me donnait l’impression que je me séparais d’une partie de moi, je sentais qu’il devenait de moins en moins dense mais je réussis à l'étendre sur environ un mètre et ce qui m’attendait était au delà de toutes mes espérances. De la même manière que je ressentait mon lit, je me mis à ressentir tous les objets entrant en contact avec mon aura. J’avais presque l’impression de voir ce qui m’entourait.

Pendant les quelques mois qui suivirent je commençais mon entrainement au combat tout en continuant à m’entraîner à établir ma "zone de vision" que j’arrivais à présent à maintenir à 1 mètre en permanence ce qui me facilitait grandement les entraînements au combat que je pratiquais armée du coutelas de mon père.
Très vite je me mis à rechercher d’autres utilisations possibles pour mon aura pour pallier à la faiblesse de mon corps qui constituait mon plus grand désavantage en combat.

Une idée me vint assez rapidement à l’esprit, l’aura est une barrière autour de mon corps mais je pourrais essayer de déplacer cette barrière afin par exemple de bloquer des attaques avant qu’elles m’atteignent. Et en étendant cette réflexion former cette barrière autour d’un objet afin de le faire bouger en même temps que cette dernière.

Il me fallut un an afin de parvenir à maîtriser quelque peu cette technique, me permettant de faire bouger de petits objets présents dans mon champ de vision. Je pouvais également former des barrières assez rapidement pour parer les coups de mes adversaires.


Un peu de vous

Âge : 20
Comment avez-vous connu le forum : C'est Kouhaku qui me l'a conseillé (Quoi? C'est moi? Non je n'ai pas de dédoublement de la personnalité.)
Commentaire : Euh... Merci?
Un peu plus de vous : Dans un univers parallèle on m'appelle KouKou.
Code de règlement : (/me cherche très dur dans ses souvenirs pour ne pas relire tout le règlement) Murasaki Kuuran - This is where light ends Z3soP2d?

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Amethist Monday
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MessageSujet: Re: Murasaki Kuuran - This is where light ends Murasaki Kuuran - This is where light ends EmptyDim 8 Oct - 18:54
Bon courage Murasaki Kuuran - This is where light ends 2084846646
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