Bonjour.

Ce ticket a pour objectif de parler d’un objet que Phoenix a difficilement obtenu (j’ai du l’écrire et tout c’était chaud y’avait des lettres) dans son solo, et de la personne à son origine :

Saturn Azur, membre du culte, ancien huntsmen et scientifique avant tout, orginaire d’Atlas, avait fait déjà de nombreuses expériences et recherches sur la dust et avait pour but de l’incorporer au corps humain.

Les risques bien trop grand, il délaissa ce projet pour se concentrer sur la traque du culte, avant d’être disparu à la suite des évènements de la chute de Glenn. Décidant de rejoindre le côté sombre de l’histoire après cela, il retomba alors dans son travail, sans qu’aucune barrière moral ne l’en empêche.

Travaillant partiellement avec d’anciens scientifiques d’Atlas sous une nouvelle identité, il est la personne ayant financé, organisé et effectué la campagne de tatouages expérimentaux sur Phoenix et d’autres individus. Les quartiers pauvres avaient étés choisi,et, en plus de papiers dédouanant toute responsabilité et exposant noir sur blanc les risques connus officiellement sans en émettre aucun, chaque personne devait se soumettre à plusieurs interrogations… afin de s’assurer qu’ils ne seraient pas en mesure de faire trop de vagues.

Ce n’était pas les seules opérations de ce genre que Saturn effectua. Il avait, à côté, des expériences beaucoup plus sordides et totalement secrètes, afin de tester différentes options… différentes réactions, notamment les plus violentes.

Au fil des années, il essaya de s’appliquer cela à lui même, avec l’aide de collaborateurs anonymes, moins scrupuleux et plus avare que la plupart qui mériteraient autrement d’être nommés.
Il passa près de 10 ans a reprendre le fruit de ses recherches, sans aucune limite.

Le cube donné à Phoenix contient la majeure partie de ses recherches, synthétisés, décryptables et expliqués, avec une véritable méthodologie, chronologie, et de nombreuses photos à l’appui.
Aucune fois le culte n’y est mentionné, ceci dit.

La véritable identité du cube n’est tout simplement qu’une boite noire contenant un disque dur externe.

Voici ce que lui ont permis, dans les grandes lignes, d’obtenir son travail :

- Les tatouages de dust sont, communément, appliqués de la même manière qu’un tatouage standard, a l’outil électrique ou traditionnel, le dernier cas étant beaucoup vu dans certaines tribus msitraliennes.

- Le principe remplace donc l’encre classique par de la dust liquide, mais il y’a cependant quelques précisions à apporter : la dust liquide ne peut pas être appliqué telle quel, et doit être en premier temps stabilisée, souvent en la diluant dans de la dust plus stable, sinon le tatouage est un danger trop important pour représenter une quelconque utilité. La dilution explique également pourquoi les utilisateurs de tatouages ne peuvent pas rivaliser avec une utilisation externe de dust liquide.





- De plus, avant d’appliquer la dust au derme, le derme doit être protégé par certaines matières qui font office de tampon entre celui-ci et le tatouage, protégeant le corps de par et d’autres. Certaines tribus utilisent également cette méthode d’une autre manière : avec certaines matières stables, par exemple à une certaine température, il est possible en ajustant la quantité de mettre le tatouage en veille, soit inutilisable car étouffé par la couche protectrice. Cela peut permettre par exemple à des tatouages de s’activer selon certaines conditions très spécifiques, par exemple, si le corps atteint une température trop faible : la membrane perd sa structure et le tatouage instable s’active de lui même.

- L’utilisation d’un tatouage de dust se fait généralement par l’utilisation de l’aura du porteur afin de déclencher une réaction permettant, comme de la dust classique. Cela donne également au détenteur de l’aura un contrôle sur son utilisation.

- Cependant, l’utilisation d’une aura externe directement appliquée peut également avoir le même résultat, bien que le contrôle d’un tatouage de dust soit assez différent pour empêcher des néophytes de cette application à l’utiliser à pleine maîtrise, une demande d’autodestruction partielle est simple et souvent fatale. Il est de ce fait conseillé de couvrir les tatouages en cas d’utilisation militaire, d’autant plus que la dust restant instable, de nombreux chocs répétés peuvent potentiellement, à travers une aura faible, déclencher des réactions instantanées contre la volonté du porteur.

- Les tatouages de dust ne peuvent pas s’utiliser consécutivement pendant de longues périodes : a chaque utilisation, le derme, la peau et la membrane s’endommagent selon l’intensité de l’utilisation. Il faut alors attendre que l’aura ai fini de réparer les parties endommagées avant de pouvoir les réutiliser.

- Plusieurs dusts différentes peuvent être utilisées simultanément si il y’a plusieurs tatouages, mais le corps devant adapter son aura à plusieurs applications simultanées, cela est très difficile et demande un haut degré de maîtrise, en plus d’être plus taxant physiquement.

- Cela couvre la plupart des spécificités connues des tatouages de dust. A présent, cependant, il y’a de nombreuses conséquences physiques liées à cela :

- Il est fort probable que les tatouages, surtout ceux actifs, diminuent l’espérance de vie. Bien qu’il soit impossible de déterminer une véritable statistique, vu le temps nécessaire et la quantité de sujets de tests que cela présenterait. Cependant, les sujets âgés semblaient réagir plus négativement que les personnes jeunes.

- Le tatouage, si appliqué très tôt, aurait théoriquement une possibilité d’être moins nocif à long terme, car le corps semblait réagir lors du processus de croissance. Cependant, il a été noté que les personnes tatouées sans maîtrise de leur aura avaient un taux de défaillance causant la mort de 88 %.

- Il est fort probable, après de brèves analyses ADN et génétiques, que certains corps soient naturellement plus propices à supporter la dust que d’autres. Les fichiers des analyses sont fournis.
Un certain « génome D » était utilisé, qui semblait représentait une ébauche de points communs sur les personnes résistant le mieux à la dust.

- Le tatouage peut provoquer des problèmes à la procréation, surtout chez la femme. La stérilité semble être augmentée, et une femme enceinte ayant reçu un tatouage a eu de grosses complications à l’accouchement. Le nouveau né n’a pas survécu aux complications et aurait été handicapé à vie, car il ne reçut aucune aide médicale poussée.

(Chaque dossier étant accompagné d’images et de photos, certaines étaient particulièrement graphiques).

La suite de la documentation sera le résumé de ce que j’ai réussi à trouver comme amélioration à ce procédé :

- La membrane peut être renforcée et stabilisée plus facilement selon certains produits, qui seront listés ci-contre.

- De plus, la dust n’a pas à être autant diluée et de ce fait, autant affaiblie comme les usages conventionnels l’utilisent. Elle peut être directement rendue à un état bien plus stable et condensé avec certains agents chimiques, à la manière de la glycérine. De plus, lors de l’opération d’installation du tatouage en lui même, il a été possible de silloner la cavité avec de petits filtres artificiels, qui permettent grâce à l’aura d’apporter un contrôle légèrement plus précis, et donc de limiter les risques.

- L’opération ressortissant plus d’une opération chirurgicale d’optimisation physique et non pas d’un simple tatouage, j’ai regroupé de nombreuses vidéos d’opérations et la méthodologie à suivre est entièrement détaillée dans le dossier correspondant. Cela devrait largement réduire le nombre de défauts à la conception. Des compétences de tatoueur peuvent être requises si les tatouages ont également un but décoratif, mais ne sont en rien nécessaires.

- De plus, il est également possible, avec une aide technologique et mécanique, d’augmenter la puissance de la dust, sa maîtrise et de stabiliser quasi-intégralement tout risque de reflux et de surchauffe. En effet, avec un système de turbines et de filtres, la dust peut-être condensée, excitée et relâchée en quelques instants sur un espace et une période donnée. Cela est notamment utile lors de l’utilisation simultanée et consécutive de plusieurs couleurs différentes.
Cet outil peut-être implanté avec un taux de risques modérés sur un corps humain. L’extraction est possible mais nécessite de nombreuses précautions.  Il doit être alimenté par l’aura directement pour fonctionner, afin d’utiliser la dust.

De plus, j’ai désigné un autre prototype permettant de s’affranchir de l’aura entièrement en utilisant le même système. Son efficacité est moindre, sa taille bien plus imposante et son coût bien plus élevé, mais il permettrait potentiellement de créer des machines, des armes et des armures utilisant de manière plus proéminente la dust, en en limitant les risques.


Le reste des documents contiennent de nombreuses analyses, schémas, tests et données concernant ces deux produits.


**Dans les faits**

Phoenix vendra les blueprints des deux prototypes après avoir obtenu la propriété intellectuelle dessus. Elle n’obtiendra qu’une somme unique en cédant les droits complets et totaux de la propriété intellectuelle à la nation concernée (Vale ou Atlas, au choix). Elle gagnera une belle somme, loin de faire d’elle une grande richesse mais assez pour la mettre confortablement à l’abri pour le reste de sa vie (ce qui va me permettre de justifier des achats boutique comme un appart vu que c’est une clodo pour le moment)

Les documentations sur les tatouages de dust en eux même seront rendus publics.

Phoenix gardera personnellement une copie de tout les documents présents.

Voilà pour ce court ticket lore, qui j’espère sera assez « utile » pour un peu détailler les tatouages de dust, et potentiellement donner de nouveaux joujoux libres de droit à Vale/Atlas.

Merci d’avoir lu ! Des bisous.

Bon semaine chargé déso pas déso j'aurais dût finir ça lundi.


Et bien je ne vois rien de fâcheux à ce qui est proposé. La première partie pose bien les bases. quelque chose qu'y vont dans le sens de ce qu'on a pré installé au sujet des tatouages. Même si le "germe D" me fait un peu rire. La seconde partie est un cheminement logique de ce qui peut être fait ou amélioré de la première partie et la conclusion est en soit sans incidence ou conséquence si grave. Il en tient qu'à moi de décider à qui je donne ta technologie.

Ça rajoute donc 2500 liens à ta note. Je prends aussi nature :p