RWBY : New Dawn
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Urarii Laggon - "Le bleu de tes yeux" (terminée)
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MessageSujet: Urarii Laggon - "Le bleu de tes yeux" (terminée) Urarii Laggon - "Le bleu de tes yeux" (terminée) EmptyMer 10 Juil - 13:56
Urarii Laggon
FT.  Véloce Visrin de Carcphona, by Shilin

Âge : 29 ans
Genre : Femme, jusqu'à preuve du contraire
Groupe : Corps Enseignant
Tier : tier 3X (j'avoue ne pas être sûre pour le tier à attribuer à mon perso, un avis exterieur serait le bienvenu! Je me suis basée sur le fait que Ura ait eu sa formation qu'elle soit devenue Hunteresse accomplie et qu'elle maîtrise sa semblance -donc 2- mais qu'elle s'est retirée du terrain et qu'elle soit maintenant plus calée sur l'ingénierie plutot qu'au combat -donc X )
Situation familiale : Un frère, décédé. Pour le reste, on peut dire que je suis un loup solitaire,  en somme.
Caractère

Déterminée - posée - réfléchie - bonne oratrice
Hypocrite - solitaire - manipulatrice - curieuse



Je marche.
L'aurore se lève. Le soleil sourit. Et moi aussi. Le sol gronde. Le ciel pleure. Et moi aussi. Les immeubles s'étendent de toute fierté, tête haute. Et moi aussi. Les pavés de pierre, le long des rues, restent de marbre. Et moi aussi. Encore et encore, à chaque rencontre, à chaque approche ; à chaque élément sa facette, à chaque évènement son masque à mettre. Je change. Encore et encore. Je change de visage.
Je marche.
Les arbres se courbent face au vent. Le ciel mue de sa couleur et de son temps. Moi aussi. Je continue. Je marche. Je change. Encore et encore. Je fais semblant. J'erre nonchalamment. Je suis las. Je suis hébétée. Je suis émue. J'aime. Je rougis. Je prie. Je peste. J'insulte. J'accuse. Je nie. Masque de peine. Masque d'allégresse. Masque de Haine. Masque d'ivresse. Masque de colère. Masque de bonté. Masque pour plaire. Masque de fierté...

J'ai mille faces. J'ai mille mondes. Milles ombres.
Non... Bien plus encore. Ils sont innombrables.

Innombrables, et pourtant, je les enfile chaque jour sur mon visage, ils me collent à la peau, ils me siéent si bien qu'ils doivent pénétrer ma chair pour vous sembler si réels. Ils sont là pour vous plaire, pour répondre à vos attentes, mais dans le fond, ils ne sont qu'une carapace, une barrière,  je ne vous montre pas ce qui se cache derrière. Car entre les mots de mon art oratoire, derrière mes sourires factices, il n'y a qu'un simple synonyme du mot "Brisée". Je suis simplement humaine, avec ses faiblesses bien cachées; je ne suis rien de plus, je suis que porcelaine fêlée ; je ne suis que la flamme vascillante d'une bougie noyée au coeur des ténèbres, un bourgeon fané qui s'est égaré sur une pierre. Pas plus, pas moins. Je crois que je me suis tellement refermée par le passé, j'ai tellement été accablée par la solitude, que maintenant j'ai oublié comment ressentir. Maintenant j'aime la solitude, quand elle me prend dans ses bras, me caresse délicatement, je ressens que j'ai plus besoin d'elle que des autres gens. Et de toute façon, les émotions riment avec routine, avec habitudes et attachements, et je déteste la Routine. Je l'exècre. Je préfère avoir oublié comment exister, c'est plus simple, moins douloureux, et finalement je me plais à juste être là pour être, pour observer, et pouvoir me languir de l'humanité et de sa noirceur, de ses malheurs, de son éternel combat contre ces créatures de l'ombre qui l'oppressent. Je suis une spectatrice, mais j'aime l'imperfection, la violence.

Je suis maître de l'hypocrisie, vous me voyez parfaite, mais je reste finalement loin de vous, je me joue de vous, et j'aime ça. Laissez-moi dans mon coin, et je vous observerai en souriant ; approchez-vous et je vous mordrai si vous arborez le moindre signe agressif. Je suis déterminée à rester sur mon siège, loin de vous; et je ne me laisserai pas me faire déloger. Je reste clouée, je ne bouge pas de ma place. Je vous souris, je rigole avec vous. Mais dans le fond, je vous épie, je vous étudie, j'apprends de vous. Je guette, tel un rapace repérant sa proie, tel un fauve attendant le moment pour bondir. Derrière mon masque d'alacrité évidente, j'attends de pouvoir jouer de vous. De vous voir au loin, souffrant.
Les liens ne sont qu'outils à exploiter, le sourire n'est qu'un appât, et les autres ne sont que les autres. Ils ne m'empêcheront pas d'avancer.

De marcher. De changer. Encore et encore.

Je m'éloigne. Je poursuis mon chemin.
Je m'enfonce,  je m'éloigne.

Je marche.

Physique

Fixant mon miroir, je toisais ce doublon qui était le mien. Je le connaissais par coeur, je me connaissais, et pourtant, il me semblait étrangement lointain et inconnu. Irréel,  tel le reflet des nuages vascillant sur les douces vagues de l'océan. Oui, cette vision de moi-même me laissait un goût amer chaque matin tant elle semblait trop parfaite, trop soignée pour être moi. Alors, du bout des doigts, j'effleurai l'immuable reflet qui me faisait face.

Peint sur cette toile lisse, ce portrait de fusain et de pastel soutenait mon regard. Son teint de porcelaine semblait plus immaculé que le blanc de papier, et les courbures généreuses de sa silouhette étaient finement dessinées comme de la main d'un artiste habile. Ces traits sensuels, attisant facilement les regards, offraient aux yeux de tous un décolleté aussi ouvert qu'une camélia en floraison. Et lorsqu'elle se mouvait, c'est à un serpent de charme que l'on faisait face, envoûtant et gracile.
Une partie de son visage était voilé par ses cheveux faits de neige et de cendres, qui luisaient de cette douce teinte légèrement argentée en ondulant avec délicatesse, tel un tracé d'aquarel poursuivant sa course le long de son corps, jusqu'au centre de son dos. Se détachant de cette mer laiteuse, ses yeux brillaient d'un éclat turquoise, comme taillé dans une précieuse Topaze. Mais malgré cette légèreté  aux airs de lagon paradisiaque qu'ils arboraient, il n'y avait plus expressifs. Bien que souvent froids, ils se muaient à la volonté de sa détentrice ;  ils pétillaient si elle riait, ils foudroyaient si elle pestait, ils parlaient en même temps que ses lèvres. Ces iris de ciel étaient particulièrement prenants, somme toute. Il était si facile de se perdre en leur sein, que leur profondeur semblait pouvoir rivaliser avec le plus sombre des gouffres abyssaux. Son regard, on le croirait capable de faire brûler la neige , de faire s'écrouler les plus hauts monts, ou encore de taire la plus violente colère des ouragans.

Ce reflet avait tout de ce qu'on qualifierait de belle femme, bien habillée, au parfum épicé, à la voix mure. C'était une douce vision certe, mais aussi une tendre illusion. Je ne savais que trop bien que l'apparence n'était que déguisement, que mes lèvres d'ange n'étaient que la porte des enfers. Ma main glissa le long de ce miroir trompeur, et je la portai alors à mon corps, soulevant mon haut de satin qui cachait ma peau.

Si généralement les personnes qui m'entouraient ou que je rencontrais se plaisaient à faire face à cette image parfaite et voluptueuse, mon vrai visage, celui que moi j'appréciais, celui en lequel je me reconnaissais, se trouvait sous ces apparâts encombrants. C'est dans cette imperfection tue que je me retrouvais pleinement. Comme deux faces d'un même tableau, comme deux mondes qui se recoupaient, et à l'image la noirceur de l'humanité ; des cicatrices prenantes léchaient ma peau, telles des flammes ardentes avides d'embraser leur territoire. Elles dévoraient, souillaient et rongeaient mon côté gauche, entachant l'apparente pureté de mon teint, et avalant de part et d'autre mon dos et mon ventre comme s'il avait été pris dans un éboulement tumultueux. Se retraçait sur cette morne apparition les vestiges d'un combat contre des Créatures de Grimm ayant mal tourné.

Dans ce simple geste, je trouvais la satisfaction de pouvoir défigurer ce portrait idyllique et idéalisé qui se dessinait dans ce miroir; et à cette simple pensée, je vis sur mes lèvres se dessiner l'esquisse d'un sourire narquois.


Semblance & Arme

Blackbird • J'utilise plutôt des rapières/épées légères ou ma semblance pour combattre, et Blackbird est sans doute l'épée fine que j'utilise le plus. Ou alors je me bas avec certains de mes prototypes pour les tester, mais bien plus rarement. Une bonne lame simple et efficace me suffit... Blackbird est une épée d'argent, fine, courte, mais robuste, au manche noir et blanc, orné d'une rose rouge. Hormi cette décoration, il n'y a rien de plus, elle reste juste une épée, elle n'a pas d'autre forme ou d'autre fonction. Peut-être que je lui porterai des modifications à l'avenir.

BloodHandling • Manipulation sanguine qui ne fonctionne qu'avec son propre sang. Possibilité de changer forme, mouvement ou densité d'une quantité raisonnable de sang (comme la création d'un arme/projectile/bouclier/etc par exemple). Semblance réduite néanmoins à une contrainte de durée d'utilisation ainsi qu'à une certaine quantité de sang, sous risque d'anémie notemment.

Histoire


Quand je regarde le ciel, et que son doux voile de satin azuré enveloppe l'horizon, je pense à toi. Au bleu de tes yeux, à la douceur de ton âme, à  la chaleur de ton sourire.
Mais lorsque je t'ai perdu, les cieux ont viré à la nuit, et ont continué leur cycle inexorable. La lune n'a pas pleuré ta perte. Les étoiles sont restées indifférentes à mon désespoir. La terre à continué sa course, tournant mécaniquement sans y avoir prêté attention; pour elle, ce n'était qu'un peu plus de sang versé sur ses pourpres sols.

Pourtant aujourd'hui encore, quand je regarde le ciel, je vois le bleu de tes yeux... Mon frère.

Mon tendre frère.

Toi qui a été l'essentiel de ma vie, te souviens-tu? Toi qui séchait mes larmes et pansait mon coeur, te rappelles-tu? Orphelins, tu as tout de même gardé ma main dans la tienne, tu as toujours cherché à me rassurer. Tu m'as toujours protégée. Tu m'as toujours tout donné. Je t'avais toi et c'est ce qui m'importait.
Tu étais doué en mécanique, et grâce à tes talents tu arrivais à subvenir à nos besoins; quelques réparations par-ci, quelques prototypes par-là, il y avait de quoi faire à Atlas, et sa technologie grandissante. C'était difficile, mais tu aimais ça, tu aimais ce que tu faisais, ça te faisait sourire, ça nous rendait heureux. Tu m'as même transmis ta passion, ton savoir faire; et parfois, je pouvais même t'aider.

Nous vivions dans l'allégresse. Nous avions nos habitudes, nos blagues, nos souvenirs, nos sourires... C'était une vie sobre, et qui nous convenait ; mais un peu moins à notre environnement. Certes les années passaient, mais la droiture Atlasienne n'appréciait que de moins en moins ce genre de vie de de "voyous", payés sous la manche pour réparer les voitures ou les pièces et membres mécaniques qui avaient besoin d'un petite révision. Notre vie considérée comme un exemple même de l' "échec", et les rumeurs et les chuchotements ont finit par laisser les gens dans un tel état d'esprit à notre égard qu'on avait dû s’excentrer de la ville pour être plus tranquilles. Puis finalement, nous sommes partis sur les routes. Qui dit plus loin de la ville, dit moins de sécurité. Si certe le militarisme atlasien dissuadait monstres et malhonnêtes des environs; mais dès que l'on s'enfonçait loin du centre, cette tendance s’atténuait. On sentait que le danger régnait en maître par endroit.

Mais guidée par le bleu de tes yeux, et la chaleur de ta main, je t'ai suivie sur ce chemin interminable; tu voulais atteindre Vale, alors moi aussi.

Et c'est en route pour cette destination que c'est arrivé...


Le bleu s'est changé en rouge.



Ces dernières années nous avaient renforcés, mentalement certes, mais nous avions aussi appris à nous défendre. Tu savais te battre, tu voulais me protéger; mais il fallait rester réaliste: les dangers étaient plus féroces que cela, et cette fois-ci tu t'es fait avoir.

Nous n'étions pas si loin de notre destination, après tout ce temps, et nous nous étions arrêtés dans un village en chemin.
Ce soir là, on regardait le bleu du ciel, souviens-toi. Ce bleu qui nous liait, toi et moi, cette teinte turquoise que nos regards se partageaient, tel un trésor inestimable. L'air était léger, la brise chantait entre les feuilles dansantes qui bruissaient dans un air de dernière valse. Puis, le soleil s'est tue, et le ciel a troqué sa robe de saphir contre un velours vermeille. Puis plus sombre. Et finalement la nuit était tombée, se déversant sur le village qui s'endormait.
Quand soudain un cri retentit.
L'atmosphère devint lourde, pesante, et en quelques secondes qui semblaient être une éternité , le chaos régna en maître. Des Créatures de Grimm avaient envahis le village où nous faisions juste escale. Le rythme cadencé des pas des fuyards sur le sol, les hurlements rauques des bêtes, les crépitements des flammes qui prenaient vie au coeur des ruines: tout semblait suivre la partition d'une symphonie désaccordée, ou d'une mauvaise blague du destin. L'odeur âcre prenait à la gorge, nos respirations étaient saccadées, et alors que nous essayions de fuir, tu as lâché ma main.

À ce moment là, aucun bruit n'a su atteindre mes oreilles, aucune pensée n'a su surgir ; le temps semblait s'être arrêté, tu sais. En me retournant, j'ai vu le bleu de tes yeux se ternir.

Tout ce qui suit me semblait flou, incertain. Sombre.
J'ignore encore si c'est en débloquant enfin ma Semblance que je m'en suis tirée, ou si des Huntsmens et huntresses sont arrivés pour sortir les survivants de ce pétrin. Je serais bien incapable de me souvenir. La seule image de mon frère tombant, lourd, inerte, à moins d'un mètre de moi, restait gravée dans ma mémoire, et avait dévoré tout le restant de cette soirée.

Ce jour là est sans doute le seul jour de mon existence dont j'aurais à me plaindre; et encore que, aujourd'hui avec le recul, je sais ô combien il m'a forgé.

Depuis, j'ai continué ma route, sous ce ciel bleu que je n'osais même plus regarder. J'ai grandi avec cette haine des Grimms au ventre. J'ai beau m'être inscrite à Beacon, et m'y être améliorée, tout le monde me disait que j'avais le "profil idéal" de la "méchante". Froide, distante, hypocrite, attirée par la violence, et une semblance qui manipule le sang... Mais cela me convenait, dans un sens, au moins les gens m'évitaient; et c'est une carapace qui me siait: je pouvais rester dans ma solitude, et garder un regard extérieur sur ceux qui m'entouraient.
Même diplômée, Hunteresse accomplie, ma haine me rongeait. Encore et encore, peut importe les missions accomplies cela ne suffisait jamais. Plus je devenais forte, plus ma soif de violence me dévorait. C'était une bête sauvage, gardée en moi, aux crocs et aux griffes acérées, qui me rongeait de l'intérieur, qui me lancinait, déchiquetait de l'intérieur. Chaque jour plus forte, chaque jour plus virulente. Chaque jour elle prenait un peu plus possession de moi.

J'avais clairement perdu de vue l'essentiel.

Lors d'une énième mission, une chasse aux Grimm qui semaient la pagaille, un Nucklavee a failli avoir raison de moi, me blessant au côté. J'avais beau être vivante, j'avais beau m'en être remise après quelques mois, je m'étais pris un sacré revers qui m'avait enfin rouvert les yeux sur mon aveuglement. Et si aujourd'hui ce n'est qu'une cicatrice sans séquelle, et qu'elle ne m'empêche pas de combattre; c'est ma fierté et la honte de ma conduite qui m'empêchait de repartir sur le terrain... Je ne devais pas être la seule à avoir fait ce faux pas, mais qui sait ce que les autres Huntsmens ont pu devenir.
Alors j'ai laissé le terrain pour les autres. Ma Bête, quant à elle, s'était tue, enfin.
J'aurais aimé utiliser mes expériences et ma vie au profit de la relève, de ces jeunes étudiants rêveurs qui sillonnaient les même couloirs que j'ai parcouru autrefois; mais entamée dans ma fierté, il m'était sans aucun doute impossible de leur faire face et d'être un modèle pour eux. Enseignante ? Non...

La première ligne ce n'était plus pour moi, il était hors de question que je forme des jeune s'envoyer au casse pipe... Alors quoi, qu'est-ce qu'il me restait? Je ne pouvais pas me résoudre à une défaite comme ça, à m'abattre si facilement ? Succomber au Cultisme, moi, la "méchante idéale"? Même pas en rêve, je détestais trop les créatures sombres pour ça...

Alors, comme mon frère jadis, j'ai mis à profit mes connaissances en mécanique.
J'ai tout repris depuis le début ; ce qu'il me fallait, c'était œuvrer dans l'ombre. Pas être sûr le terrain, ni en seconde ligne à former les jeunes.
Je suis restée affiliée à mon ancienne école, et me suis redirigée dans l'ingénierie des armes pour les étudiants et les Huntsmens. Créer des prototypes, réparer les armes que chacun chérissait. J'avais trouvé ma place, après presque 30 ans de voie incertaine.

Aujourd'hui, j'arrive de nouveau à lever la tête et regarder le ciel.
D'admirer le bleu de tes yeux.
De comprendre l'alacrité qui brillait dans cette teinte.
De comprendre ce que tu ressentais il y a des années auparavant, quand tu étais à ma place, et que tu touchais aux métaux et aux vis, lorsque tu réparais chaque objet avec ferveur et passion.

Alors, lorsque je vois l'horizon arborant le bleu de tes yeux, je souris.


Un peu de vous

Âge : 21 ans
Comment avez-vous connu le forum : Merci googlllle!
Commentaire : Si jamais à l'occaz vous voulez changer de thème du forum je suis codeuse/développeuse de métier (irl), si vous voulez un coup de pattoune en codage ou même graphique purement bénévole n'hésitez pas ^-^
code du règlement:  Urarii Laggon - "Le bleu de tes yeux" (terminée) Z3soP2d?

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MessageSujet: Re: Urarii Laggon - "Le bleu de tes yeux" (terminée) Urarii Laggon - "Le bleu de tes yeux" (terminée) EmptyJeu 11 Juil - 19:30
Désolée pour le petit double-poste! Juste pour signaler que ma fiche est enfin terminée ^^
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MessageSujet: Re: Urarii Laggon - "Le bleu de tes yeux" (terminée) Urarii Laggon - "Le bleu de tes yeux" (terminée) EmptyDim 21 Juil - 17:59
Coucou,

C'est moi qui vais s'occuper de ta fiche. Je vais te le dire tout de suite, j'ai très peu de choses à dire sur le physique et l'histoire. Ils sont bien décrits et majoritairement cohérents.

J'ai, par contre, quelques problèmes avec le caractère. Tu décris ton personnage comment portant constamment un masque pour cacher ses faiblesses et le "vide" qui est derrière ceux-ci. Première, tu ne révèles pas les faiblesses de ton personnage. Ensuite, il est impossible de porter parfaitement un masque peu importe ce qui arrive. Il doit y avoir quelque chose qui affecte tellement ton personnage qui la rend incapable de maintenir l'illusion. Finalement, tu décris ton personnage comment étant vide et incapable de ressentir. Ceci est la description d'une personne brisée qui a perdu tout espoir et croit que tous ses efforts sont vains. Pour que cela se produise il faut que quelque chose soit arrivé dans le passé du personnage. Oui, elle a perdu son frère. Mais, elle n'est pas devenue une loque humaine. Au lieu, elle devient consumer par haine des Grimms. Elle se fait ensuite grièvement blesser, mais cela ne semble pas tellement affecté son moral. Au lieu d'abandonner, elle se cherche un nouveau but.

Donc, je crois qu'utiliser le terme "vide" pour décrire ton personnage n'est pas approprié. De ce que j'en déduis suite à ma lecture, Urarii a simplement de la difficulté à exprimer ses émotions et à peur d'être blesser par les autres. Elle porte donc des masques pour garder une distance avec les autres.

Aussi, un joueur ne peut pas commencer au tier 2 qu'il soit X ou non. Je te recommande le tier 3 étant donné qu'elle est une ancienne huntress.

Voilà ce que j'avais à dire sur ta fiche. Si tu as des questions, n'hésite pas à contacter moi ou un autre membre du staff par mp.
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MessageSujet: Re: Urarii Laggon - "Le bleu de tes yeux" (terminée) Urarii Laggon - "Le bleu de tes yeux" (terminée) EmptyDim 21 Juil - 19:19
Hello ^_^
Déjà, merci pour ton retour :3
Il est vrai que j'ai ecrit le caractère avant l'histoire, du coup il y a eu une incohérence xD je te corrige ça ^^
Pour le tiers je te remercie de m'avoir éclairée aussi :3 je m'occupe de ça dans la soirée !

Des poutous ♡
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MessageSujet: Re: Urarii Laggon - "Le bleu de tes yeux" (terminée) Urarii Laggon - "Le bleu de tes yeux" (terminée) EmptyMer 24 Juil - 15:45
Les corrections sont-elles faites?
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MessageSujet: Re: Urarii Laggon - "Le bleu de tes yeux" (terminée) Urarii Laggon - "Le bleu de tes yeux" (terminée) EmptyJeu 25 Juil - 9:31
Oui ^^ le tier a été changé en 3x du coup, et j'ai templacer les notions de ''vide" par "brisée" sur la partie concernée. Est-ce que cela convient mieux comme ca? :3
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MessageSujet: Re: Urarii Laggon - "Le bleu de tes yeux" (terminée) Urarii Laggon - "Le bleu de tes yeux" (terminée) EmptyJeu 25 Juil - 13:13
Les corrections sont faites et c'est bien. Bon, je vois aucune autre raison de te faire attendre.

Félicitations, tu es validée!

Je t'invite à poster ton avatar dans le bottin des avatars ( https://rwbyrpg-nd.forumactif.org/t21-bottin-des-avatars ) et ta semblance dans le listing des semblances ( https://rwbyrpg-nd.forumactif.org/t22-listing-des-semblances )

Un administrateur se chargera de t'ajouter au groupe du corps enseignant. Une fois que ce sera fait tu pourras commencer à rp

On se reverra dans les couloirs de Beacon :3
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Urarii Laggon - "Le bleu de tes yeux" (terminée)
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