Karmijn était fière, très fière de sa poitrine, si bien qu’elle s’était présentée pour être élue plus belle poitrine de l’année 2 de tout Remnant de New Dawn, et avait écrasé ses concurrentes sur les précédentes épreuves. De l’autre côté de l’arbre, une autre concurrente s’imposait comme la grande rivale de la bandit : Akima. Celle-ci semblait avoir plus d’embonpoint, mais ceci ne l’empêchait pas d’obtenir un beau coffre que beaucoup voulaient voir nu. Comme prévu, les deux concurrentes se rencontrèrent en finale… Et il y eut un problème.

Les juges n’arrivaient pas à départager les deux femmes, et le public ne les aidait pas, avec un vote parfait de 50% chacune. Il s’agissait là de la première fois en deux ans que ce cas arrivait, et demandait de la patience, ainsi que de la réflexion. Pour attendre, pendant que Karmijn essayait de vendre ses armes contre des votes, l’autre contestante, chasseuse de monstres à mi-temps, avait décidé de sortir un steak de Rathian afin de se remplir la panse. Pendant ce temps, tout le monde était en train de se concerter, réfléchissant à une issue à ce débat sans fin, émettant l’hypothèse d’avoir deux gagnantes cette année.

Quand soudain, ils regardèrent à nouveau la poitrine de Akima, et ne purent en croire leurs yeux. Elle s’était agrandie, et continuait de le faire au fur et à mesure qu’elle mangeait sa viande. Pendant ce temps, Karmijn avait elle aussi remarqué cet étrange phénomène, et se dit qu’elle aussi, pouvait tenter sa chance avec ce qu’elle aimait ! Elle se mit à boire des tonneaux et des tonneaux d’alcool avant de regarder le résultat de son dur labeur, et tout le monde put remarquer qu’elle aussi avait évolué… au niveau du ventre.

Ainsi, Akima fut la grande gagnante et gagna le prix de « Meilleure Poitrine de tout Remnant de l’an 2 de New Dawn ».

Adrian était un scientifique très sérieux et écouté dans le monde de la zoologie de part ses débats et ses grandes affirmations sur les ornithorynques telles que : « Non, une éponge n’est pas un ornithorynque. » Et ce n’était donc pas pour rien qu’Ivory avait décidé de le suivre dans ses études, mais elle n’y comprenait rien. Alors elle essaya de comprendre son sujet d’études, et se mit à se dire ce que pourrait faire, ou penser un ornithorynque. Pourtant elle n’y parvenait pas, elle ne comprenait pas cette espèce et son mode de vie, ne pas manger de bonbons, c’était impossible. Alors un jour, la blonde vint voir son professeur, en lui disant les mots suivants.

« Monsieur Black ! Je ne comprends pas du tout pourquoi, mais j’essaie de me mettre à la place d’un ornithorynque afin de comprendre ce qu’il est, et ce qu’il n’est pas, mais rien n’y fait, pour moi, une table est un ornithorynque pour moi. Je n’arrive pas à être à sa place, comme lui. »

Le professeur Adrian, assit sur sa chaise, se tourna vers sa stupide assistante, relevant ses lunettes et buvant une gorgée de thé avant de lui répondre :

« C’est simple ma chère Ivory, une table n’est pas un ornithorynque. Cependant pour répondre à votre question principale, c’est simple : vous n’êtes pas un ornithorynque. »

Puis il secoua son bec avant de gratter sa queue plate, puis retourna boire son thé en toute tranquillité.

Le Soldat-Bandit John Stone, Juan Pedro lorsqu’il retournait à ses racines, était un grand héros malgré lui, mais ceux qui pouvaient en témoigner étaient morts. Parce que même lui ne savait pas qu’il avait sauvé le Monde de Remnant il y avait déjà quelques années, lorsqu’il essayait d’obtenir le dernier pistolet à billes à la fête foraine du coin.

Lors de sa dernière balle, le jeune John avait tiré sur les ballons qu’il fallait éclater, et sa puissance de feu de l’époque fit traverser la balle qui éclata tous les ballons, tuant au passage la terrible Salem ainsi que ses hommes de main. Alors que seule l’élite connaissait son existence, aucun d’entre eux ne savaient qu’ils n’allaient rencontrer que des cadavres une fois là-bas.

John, lui continuait son bonhomme de chemin, on dit qu’il aurait tué un Freezer en mimant le geste de tirer dans le ciel. Laissant tout le mérite à un type pouvant changer de couleur de cheveux tout en abîmant légèrement la Lune de Remnant.

Albedoggo était seul en cette soirée de Noël. Comme tous les jours, sa maîtresse travaillait dur, et la voisine, bienveillante, avec tout le voisinage, aimait le chouchouter et lui offraient toujours de la bonne viande. Albedoggo était un chien heureux, au poil soyeux, et il aimait tous ceux qui l’aimaient en retour.

Sa maîtresse travaillait dur tous les jours afin de parvenir à ses besoins, prenant soin de s’occuper de tous les métiers du village, et Albedoggo savait qu’il allait passer une nuit des plus mémorables, avec beaucoup de surprises derrière cette porte menant au salon, spécialement fermée pour qu’il ne puisse pas surprendre Monsieur le Père Noël.

En effet, lorsque sa maîtresse revint, vers les minuits, il eut droit à son lot de câlins et elle ses léchouilles au visage. Ils mangèrent tranquillement jusqu’à ce que la date change, et que mademoiselle ne se décide à ouvrir la porte.

Albedoggo fut très heureux de voir tous ces cadeaux posés juste devant le sapin. Il y avait là plein de présents de la part du Père Noël, lui rappelant chaque membre du village : le jouet ornithorynque avec sa notice, un jeu de carte en plastique, pour mordre dedans et jouer, de la viande de très bonne qualité cuite comme il l’aime, un corbeau qui disait « Je suis ton meilleur ami ! », plein de bonbons, de la nourriture pleine de gras, les restes d’une personne qui aurait voulu débattre sur la chatbox, ou encore l’une des délicieuses recettes de Sid et une arme automatique avec PLEIN de munitions ! A côté, il y avait plein de cadeaux… Sa maîtresse ne sachant pas quoi acheter pour son chien adoré, avait saisi toutes ses idées, et tout demandé au Père New Dawn, qui accepta avec joie, et puisqu’Albedoggo avait été très sage et adorable, on lui offrit même des cartes lolis collector, qu'il n'avait encore jamais eu.

Albedoggo en était maintenant certain… Il était adoré et chouchouté dans son village, et allait passer un magnifique Noël.

Kuro pensait qu’il était complètement banal, et trainait les pieds en se disant que ce serait bien de pouvoir vivre une aventure qui le rendrait unique un jour. Quelque chose de pas trop terrible, comme pouvoir combattre un dragon là comme ça, alors que personne d’autre ne peut le faire. Mais Kuro ne s’en sent pas capable, alors il continuait son chemin pour se rendre au lycée, là où il ne connaissait encore personne, nouvel arrivant dans cette grande ville qu’était l’établissement Air-Paix de New Dawn.

Sur son chemin, il y croisa plein de personnes qu’il ne connaissait pas, certains semblaient habitués, il y avait des professeurs pour les encadrer, et plein d’autres choses encore. Avec de nouveaux élèves comme lui, il se créa une sorte de cocon, mais il n’avait pas l’impression qu’il se démarquait, contrairement à la pouf du lycée, qui cherchait à se faire remarquer en insultant les autres, ou la bonasse qui buvait en cachette et rackettait les plus faibles.

Un jour, alors que les cours étaient terminés, il vit filer Ivory, une camarade de classe plus âgée ayant rattrapé pour cause de stupidité, et se retrouva seul à la sortie, avec en visuel celle qui faisait peur à tout le monde, à râler auprès des professeurs, même si certaines fois on pouvait lui donner raison, et d’autres fois tort. Karmijn n’avait pas bon fond, et elle faisait peur. Alors lorsque leurs regards se croisèrent, Kuro sut qu’il allait passer un mauvais moment.

Cependant, Kuro était unique, et ne le savait pas. Ceux qui l’entouraient, amis comme professeurs, continuaient de l’accompagner afin qu’il puisse s’améliorer, prendre ses aises dans le lycée Air-Paix de New Dawn. Alors qu’il pensait n’avoir aucun soutien, une partie de l’école prit sa défense, et Karmijn, battue à son propre jeu qu’était la force, fut renvoyée et dut partir à la recherche d’une nouvelle école, et peut-être devoir changer son attitude.

Je vais vous conter l’histoire incroyable de deux individus bien distincts. Un jour, Sid et Blaze ont entendu la légende d'une bête plus féroce et plus forte que des Beowulves, n'apparaissant que les soirs de pleine Lune et détruisant les villages alentours, éventrant les êtres vivants y habitant.

L'un d'entre eux, chasseur de monstres entre un poker et une belotte, et l'autre bandit  entre pickpocket et peloteur, une rivalité romanesque s'était créée entre eux. Ils se mettaient des bâtons dans les roues, mais jamais ne se tuaient.

Blaze, grand chasseur, avait récolté des informations et apprit qu'on ne pouvait toucher ce loup qu'avec des projectiles en argent, et vint prévenir son rival du problème qui était posé, et fêtèrent dignement leur moyen de vaincre le monstre, puis partirent chacun de leur côté à la recherche de la créature.

Le Huntsman, plus malin, fut le premier à la trouver, à attaquer un pauvre Grimm sans défense. Il se hâta alors, chargeant son arme de munitions du minerai mortel, et tira plusieurs fois sur la créature, qui fut touchée, mais pas vraiment blessée.

Blaze était abasourdi, les informations étaient-elles fausses ? Alors qu'il voyait sa vie défiler devant ses yeux, et que le monstre lui fonçait dessus afin de le tuer, Sid, qui avait entendu les coups de feu, intervint pour avoir le pactole.

Ses balles tirées eurent un impact direct sur le Grimm-Garou, hurlant de douleur, et prêtant beaucoup plus d'attention au nouvel arrivant, semblant esquisser un sourire de satisfaction, mais aussi une lueur dans ses yeux s’aviva.

Plus Sid tirait, moins le monstre se battait, en fait il semblait foncer sur les projectiles, ainsi que redevenir humain. Et alors que Blaze se souvenait de Emperor Penguin, joueur de MMORPG à l'époque où il jouait et faisait croire aux autres qu'il était une fille, on pouvait voir, au sol, une Karmijn redevenue humaine, nue comme une ver, mais les bras pleins d'argent, pièces comme billets.

John Stone était un homme qui aimait bien faire les choses. Aujourd’hui, il devait aller trouver une base militaire hyper secrète et la faire exploser le plus rapidement possible. Il n’avait donc pas le temps de se reposer, ni même de faire quoi que ce soit d’autre.

Ce fut d’ailleurs la première chose qu’il dit alors qu’il voyageait à bord de son Bulldog personnalisé, et se jetait de ce dernier sans parachute pour atterrir sur l’emplacement exact le laissant entrer dans la base souterraine : « J’ai pas l’temps. ». Son esprit était déjà ailleurs, et il n’avait pas le choix maintenant, il fallait y aller.

Il répéta encore une fois « j’ai pas l’temps » lorsqu’il dut programmer la minuterie des explosifs, pour ensuite se rendre dans la pièce du général de l’armée ennemie. Lorsqu’il rentra, il put entendre.

« HAHA ! Tu es tombé dans mon pi… »

Une balle lui traversa la tête, le tuant sur le coup. Son fidèle adjoint, qui ne comprenait pas ce qu’il venait de se passer, se mit à paniquer.

« Mais qu’avez-vous fait ?! Pourquoi n’avez-vous pas attend… »

« J’ai pas l’temps. »

Une nouvelle balle bien placée, et John commençait à partir à son rythme habituel, militaire mais tranquille. Cet homme sentit comme une secousse alors qu’il rejoignait la sortie, et alors que les flammes et le souffle de l’explosion commençaient à l’envelopper, on put entendre une voix dire :

« J’ai pas l’temps. »

Comme tous les jours, Ivory s’amusait bien en cette journée, mangeant ses bonbons pendant qu’elle sautillait sur son lit, utilisant un peu de ses pouvoirs afin de ne pas le casser en deux à cause de sa force un peu trop grande. Elle aimait bien cet endroit, puisqu’elle pouvait manger ses bonbons tranquillement. Les gens autour étaient silencieux. Les gardes faisaient leurs rondes tandis que les autres étaient dehors, dans leur propre chambre à eux aussi. La seule chose qui déplaisait à la blonde, c’était son nouveau Pyjama. Certes il était confortable, mais elle avait oublié d’amener ses affaires, et du coup il s’agissait des seuls vêtements qu’elle ait en sa possession, mais il n’y avait que des pyjamas disponibles, de toute taille, mais toujours les mêmes rayures horizontales noires et blanches.

Alors qu’Ivory chantonnait en regardant les gardes passer ça et là de la prison, ce dernier la surveillait d’un air suspicieux. On lui avait dit que cette jeune femme, forte et agile, était un monstre de cruauté, et on lui avait expliqué pourquoi. Elle avait, pendant la nuit d’Halloween, tu… non, exterminé plusieurs centaines d’enfants dans tout Vale, prétendant ensuite ne pas avoir tué d’enfants, mais des Grimms qui sévissaient dans la ville, et que même si ces Grimms étaient des enfants, c’était quand même des Grimms, et qu’il fallait les tuer avant qu’ils ne deviennent adultes, et elle s’en défendait toujours. D’ailleurs, elle le remarqua et commença à lui parler, comprenant que le problème venait quand-même de là.

« Eh Monsieur ! J’te jure j’ai rien fait ! C’était des Grimms ! Des Grimms ! C’est ma mission de les tuer ! »

L’homme comprenait maintenant pourquoi elle était dangereuse, elle commençait peut-être à voir des Grimms partout, comme ce dessin-animé avec un lion tellement affamé qu’il voit un zèbre, une de ses repas, comme un steak. Mais à force d’entendre ses jérémiades, il ne put garder le silence. Donnant aux lecteurs un exemple de discussion sans interruption qui pouvait avoir lieu avec elle.

« Vous avez tué des enfants mademoiselle ! C’est un crime inadmissible ! »

« Mais un Grimm est un Grimm ! Je veux dire qu’enfant ou non il est dangereux ! Vous vouliez qu’il grandisse et qu’il fasse plus de victimes ?! »

« Non ! C’était un enfant déguisé en Grimm ! C’était pour Halloween ! On se déguise en monstre pour fêter les morts ! »

« Pour fêter les morts ?! Non à Halloween on se déguise pour récupérer des bonbons ! Ça je le sais très bien ! Mais les Grimms enfants ils ont pas le droit de fêter Halloween parce qu’ils sont méchants ! »

« Je euh… Je n’ai pas bien compris… J’ai l’impression que ce que vous avez dit est complètement idiot. »

« Eh bien c’est simple ! Les Grimms enfant ont voulu fêter Halloween ! Mais ils sont des Grimms, ils sont méchants ! Ils ne voulaient pas les bonbons ! Ils font exprès comme ça ils peuvent tuer plus facilement ! »

« Mais non ! Ce sont de vrais enfants humains que vous avez tué ! Pas des Grimms ! »

« Tu comprends rien à rien le vieux ! Si les Grimms enfants étaient vraiment des enfants humains, ils auraient pas été des Grimms. C’est tout simple et logique ! »

« C’est vous qui ne comprenez pas ! Vu que ces vrais enfants étaient déguisés en Grimm ! »

« Du coup c’était de vrais enfants Grimms qui avaient déjà mangé des enfants ! Moi j’vois des gens déguisés en monstres pendant Halloween, et certains semblent réels même si les monstres ça n’existe pas ! C’est pour ça qu’on reconnaît un déguisement ! Alors que les Grimms ! Ça existe ! »

« Je euh… Vais m’arrêter là pour cette discussion… Je pensais que vous étiez sans cœur, mais vous êtes atteinte d’un tout autre problème ! »

« Vous voyez bien que j’ai raison ! Je suis innocente ! J’ai pas tué d’enfants, enfin si, mais c’était des enfants Grimms ! Et me dites pas qu’ils vont à l’école ! Parce que j’les ai jamais vu faire d’école d’Huntsmen ni rien ! Ils sont méchants et on m’a dit qu’il fallait les tuer ! J’faisais que mon travail ! C’est eux les monstres sans cœur ! »

Il n’y eut pas d’autre discussion, si ce n’était qu’Ivory continuait de clamer qu’elle n’avait rien fait de mal.  Mais une loi fut adopté ce jour : Ivory Pumpkins n’avait plus le droit de sortir ni le jour,  ni la nuit, ni le lendemain d’Halloween pour des raisons évidentes de sécurité pour les enfants. Ivory, elle, libérée après témoignage de plusieurs personnes et de l'absence de son interrogateur devenu dépressif à l'idée de devoir soutenir des informations d'une idiote, commençait à penser que les forces de l’ordre étaient en fait des cultistes déguisés.

Blaze Kazeroï vivait des jours sereins ces temps-ci. Il n’allait plus avoir de problème de dettes, mais en plus il pouvait maintenant dire qu’il travaillait, à côté de son travail de Huntsman, sur la construction d’un village légal et plein de bon sens, et même si la bande avec qui il trainait s’amusait à le chambrer par rapport à Karmijn, lui, commençait tout simplement à en avoir marre, et espérait pouvoir se reposer, ou travailler au village maintenant que sa mission de destruction de Grimms avait été terminé. Lorsqu’il reçut un appel, ce fut avec une joie immense qu’il apprit que l’appel venait de Karmijn, qui s’écria immédiatement lorsqu’il décrocha :

« Vite vite ! Viens au  village ! Vite ! C’est une urgence des plus urgentissimes ! »

N’hésitant pas un seul instant, il sauta du Bullet pour atterrir sans la moindre aide, avant de commencer à courir, détruisant les arbres de la forêt et ces petits grimms éléphant millénaires que l’on disait très difficiles à tuer. Lorsqu’il arriva au village, il pouvait constater que plusieurs personnes étaient paniquées au point de courir les bras en l’air, et en hurlant. Karmijn, elle, était au bord des larmes, mais son visage s’illumina lorsqu’elle put voir Blaze qui avait marché dans une crotte de Grimm sur la route.

« Tu m’as appelé pour un problème ? Il y a des Grimms qui dérangent ?! Un groupe de Huntsman veut du mal à la création du village ? »

« Pire ! »

Blaze n’en sut que dire ! Pire que ça ?! Salem, cette Albinos effrontée venait-elle de déclarer la guerre au village ? Ozpin avait-il choisi Karmijn comme future Maiden de l’Automne ?! Elle aussi s'était faite peloter les fesses par Sid et avait aimé ça ?! Tellement de questions pour la personne qui n’était pas censée détenir ces informations !

« On fait comment pour faire un jardin ?! J’ai planté mes graines hier et rien ne se passe ! »

La chute fut telle qu’il s’écrasa la tête contre un rocher par terre et regretta de ne pas en être assommé sur le coup.

De tous les détectives, il est le meilleur, il a découvert les secrets les plus improbables du moment, comme la collection collector de cartes Lolis d’Albedo, ou encore le fait qu’Amethyst diluait sa bière, non pas pour pouvoir payer ses fins de mois, mais pour arnaquer sans la moindre vergogne ses clients ! Ce fut grâce à lui que John Stone, ou plutôt Juan Pedro, fut ramené à la frontière une fois que l’on eut connaissance de sa véritable identité Mexicaine !

Il a porté plusieurs costumes, marchand de fruits de mers, spécialisé dans les animaux marins à tentacule, ce qui lui a permis d’arrêter la terrible voleuse de poches Karmijn Zalm. Il a été jury pour un concours de pâtisserie, afin de permettre à un véritable pâtissier de gagner, mettant en péril l’avenir de la télévision et de leurs faux vainqueurs ! Il s’est ensuite attaqué au commentaring d’un tournoi d’exhibition pour une association dont je tairais le nom ! Montrant encore une fois des prouesses pour dénoncer, mais aussi parler de la poitrine de Karmijn, provoquant sa disqualification pour possession d’arme lourde et dangereuse dans l’arène ! C'est lui-même avant tout le monde qui a su qu'Ivory avait le meilleur popotin de tout RWBY New Dawn !

Il fait encore ses preuves sans que vous ne le sachiez ! Vous serez peut-être sa prochaine cible, car il ne travaille ni pour être populaire, ni pour être riche ! Il aime juste s’amuser à emmerder les gens ! Et ça marche ! Il possède mille mandat de perquisition à son domicile mais n’en possède pas ! Ainsi que deux-cent-mille et une plaintes contre toutes les vérités qu’il a pu révéler au monde entier ! Mais si Sid Langren dit quelque chose sur vous, c’est que c’est vrai !

Dans le désert de Vacuo s’étendaient plusieurs temples plus ou moins visités, deux personnes étaient présentes pour pouvoir visiter l’un d’eux, découvert il y a peu, et demandant des personnes ayant des connaissances des plus importantes. Cependant, par le plus grand des hasards, il se trouva que deux personnes se portèrent volontaires pour aller visiter les bâtiments anciens afin d’y retrouver une relique, ces personnes étant bien trop jalouses du fait qu’un type comme Floyd Schwarz ait pu en dégoter une. Car si cet homme pouvait avoir quelque chose, alors tout le monde le pouvait.

« C’est bien là le temple du Ficness ! Vous êtes êtes sûre de vouloir rentrer madame ? Vous semblez bien pâle ! »

La personne à qui on avait adressé la parole, en fauteuil roulant, leva simplement le pouce afin d’indiquer son état de santé, pendant qu’elle cherchait à comprendre le nom qui avait été donné à ce temple. Dans les légendes anciennes, on donnait souvent des noms de temple à des divinités, ou encore à des noms très connus de l’époques. Et rien dans l’histoire ne semblait concorder avec ce nom. Alors, les deux personnes poussèrent la porte et s’engouffrèrent à l’intérieur.

La porte se referma immédiatement derrière, et lorsque les deux personnes essayèrent de l’ouvrir, elles ne purent la bouger d’un pouce, et regardèrent ensuite ce qui les attendaient, parce que maintenant, elles étaient enfermées. La torche de l’une de ces personnes mis la lumière sur deux statues, la première représentait une personne aux cheveux longs et clairs, sûrement blonds, bien qu’ils soient plus foncés vers l’intérieur, indiquant plus une autre couleur qu’une ombre. Elle semblait sourire tout en portant une pancarte où, après traductions, il était marqué la chose suivante :

« Si vous voulez sortir d’ici, vous pouvez choisir d’aller à la Salle ! »

Il semblerait que le reste soit effacé, parce qu’il n’y avait pas de suite, la seconde représentait une Faunus vêtue d’une armure plutôt bestiale, comme si elle venait de chasser des monstres et s’était habillée avec ce qu’elle avait droppé dessus, même si des fois elle n’avait que 1% de chance de tomber sur la ressource en question. Après traduction, on pouvait lire sur la pancarte qu’elle tenait avec nonchalance :

« Si vous voulez sortir, vous pouvez choisir de déguster ! »

Les deux personnes se regardèrent, interloquées, la seconde salle risquait de faire mal, mais la première représentait des risques, mais elles se regardèrent d’un air confiant avant que l’une d’entre elles ne voit une troisième statue d’un chien plein de poil, allonger sur le dos comme s’il demandait des caresses. Sur la pancarte qu’il tenait au cou, on pouvait y lire la chose suivante :

« Le Harem est complet pour le moment, revenez plus tard. »

Interloquées, les deux femmes se regardèrent et décidèrent d’aller ensemble dans la salle sur dégustation, cependant, lorsque la première passa un point, la seconde se prit un mur invisible, la forçant à prendre le chemin de la salle inconnue. Elles ne rentrèrent jamais vivantes chez elles. On dit que la première était morte d’épuisement à cause d’une machine qui l’avait forcée à courir pendant trois jours. La seconde, elle, avait explosé lorsque l’entonnoir qui s’était placé dans sa bouche lui avait donné une centième portion de raclette. Mais les plus déçues dans tout ça étaient Ivory et Akima, incapables de trouver des personnes capables de survivre à leur entraînement, jalouses de celui à côté, qui avait déjà complété sa liste de fidèles.

Le jeune Grin, 17 ans, était avec sa famille, regardant sur place une compétition pour savoir qui avait le meilleur popotin de tout Remnant. La pression était à son comble parce qu’il avait suivi les émissions de télévision tous les jours, et il avait une favorite pour la finale : Katara, là où sa mère était plus pour Ivory, parce que pour elle, le popotin de cette dernière était plus entraîné, et ça se voyait. Son père, lui, bavait tel un Sid Langren l’avait fait pour chacune des filles.

De sa place dans le public, il avait demandé à son père de le mettre sur ses épaules, afin de pouvoir y voir quelque chose. Et le spectacle présenté y fut magnifique, et plein de rebondissements. A la fin de l’émission, un jury, accompagné par les votes du public, allaient indiquer qui était la grande gagnante du titre de « Meilleur Popotin de tout Remnant de l’an 2 de New Dawn ». Aux premières loges, il pouvait voir les candidates de prêt, et ça l’amusait beaucoup pendant qu’il agitait frénétiquement son instrument qui tournait et qui faisait « clapclapclapclapclapclapclap » sans jamais s’arrêter, sauf lorsque l’engin vint se fracasser involontairement sur l’aura d’un agent de sécurité, éclatant l’objet en morceaux, et propulsant plusieurs débris sur les spectateurs, mais aussi sur la scène.

« ATTEN… »

S’écria Grin, conscient de sa propre erreur, puis il vit quelque chose qu’il aurait préféré ne jamais voir : sur scène, il y eut quatre explosions distinctes, comme des ballons, et là où les popotins les plus beaux de Remnant devaient être présents, ne restaient que des filles banales autour desquelles se trouvaient des résidus de tissus gonflables.

Fin de journée au bar, beaucoup de personnes étaient passées et tout avait été nettoyé. Cependant, la journée n’était pas terminée pour la Faunus qui s’en occupait, et qui s’appelait Amethyst Distel. Regardant à gauche et à droite, elle saisit la choppe qui trainait de son côté du bar et la tira à elle, dévoilant un levier faisant tourner la grande étagère où étaient disposés les alcools. Personne ne savait réellement comment elle pouvait mettre une pièce secrète de cinquante mètres carrés au travers d’un mur de trente centimètres d’épaisseur, mais elle avait réussi à le faire.

Utilisant sa Catcave, elle frotta ses mains tout en regardant les différents écrans lui indiquant le cours des ventes de ses bières diluées à travers le monde. Caressant son chat de compagnie qui ronronnait de son sourire de méchant, elle se mit à rire à gorge déployée, son plan de conquête du monde des bières dégueulasses avait commencé, et personne n’allait pouvoir l’arrêter maintenant ! Elle avait tout prévu, tout le monde se fiait à l’application de notation des bières qu’elle avait elle-même créée, et tout le monde pensait qu’elle avait raison ! Quels naïfs !

Malheureusement, Amethyst avait un ennemi tout aussi fou qu’elle, il s’agissait de Sid Langren, alias le Plaisantin ! Parce qu’il se moquait de beaucoup de chose réelles dans la vie ! Mais sa folie lui permettait de mettre le point sur de réels problèmes ! Comme l’amour d’Ozpin pour les talons à aiguilles ! Ou encore celui de son plan de conquête du monde ! Alors elle avait décidé un plan encore plus fou ! Diluer toutes les bières du monde ! Chaque bière était maintenant retenue en otage ! Et personne ne put rien faire pour la sauver, et pour la première fois de sa vie, le Plaisantin, assisté par le commissaire Magnolia fut vaincu, et du partir en Asile Psychiatrique pour se remettre de cette terrible perte, et de ce gâchis qu’étaient devenus les bières du monde entier : imbuvables.

Il est 18h, les cours étaient terminés, et l’entraînement avait été effectué, ce qui ne laissait qu’une seule mission à Azurea qui rentrait tranquillement dans sa chambre, où les autres n’étaient pas encore présentes. S’habillant d’un long manteau création Atlas, elle partit au lieu de rendez-vous que lui avait donné une connaissance qui lui avait avoué venir du pays froid et austère.

Sans un mot, l’homme qui lui avait donné comme lieu de rassemblement au coin de la rue principale, donna quelques prospectus, qui emplirent la jeune femme de fierté. En voilà un travail gratifiant et naturellement bon pour les personnes présentes dans cette ville. A deux, ils se dirigèrent vers une maison, indiquée sur le plan qu’avait donné l’homme, qui aimait être reconnu sous son pseudonyme : Delta. Ils sonnèrent directement avant d’attendre patiemment que la porte s’ouvre. Lorsque ceci fut réalisé, et que le visage d’une personne âgée se montra à eux, Azurea prit directement la parole.

« Bonsoir ! Auriez-vous du temps à consacrer à notre Innovatrice et Grandissime Schnee Industry ? »

La vieille tira une grimace à en faire blêmir Darth Sidius et claqua la porte au nez et à la barbe des deux Atlésiens. Rapidement, Delta se tourna vers Azurea d’un ton calme et relâché.

« Il te manque encore quelques notions, si tu veux, je vais te montrer comment on fait. Reste derrière, nous allons faire la prochaine maison. »

Ils bougèrent donc et se dressèrent afin de réaliser la même action, et même résultat, la porte s’ouvrir, laissant place à quelqu’un qui semblait plus jeune, d’après sa gestuelle. Delta commença alors la phrase qu’il avait l’habitude de dire à tout le monde.

« Bonsoir à vous mon cher monsieur ! Auriez-vous… »

Et la porte claqua immédiatement, laissant place à un Delta rouge de honte. Alors que des cris de douleurs semblaient venir de l’intérieur du bâtiment.

« C’était des Faunus ! »

Le Casino

Cela faisait un moment que Blaze Kazeroï, joueur de poker du Dimanche, avait décidé de jouer contre ces personnes qui étaient infiniment plus riches que lui. Pour cela il fit une technique qui lui permit de grappiller petit à petit les liens de ses adversaires, puis dans le public, où des  paris avaient commencé afin de déterminer qui allait remporter la partie, puis une personne complètement bourrée hurla la chose suivante :

« Je parie tout mon argent sur le type en vert ! »

L'ivresse s’empara de la table de jeu et tout le monde misa ce qu’il lui restait. La tension était à son comble. Lorsque les dernières cartes tombèrent, Blaze remarqua qu’il avait perdu, et quitta la pièce sans rien demander de plus. La femme, elle, n’avait pas d’argent et surtout n’avait pas de semblance. Elle partit demander de l’argent à son père, qui avait gagné un pactole maintenant.




Noël

Aujourd’hui, c’est le jour de Noël, tout le monde a bien dormi. Katara a été sage et espère de beaux cadeaux de Noël se réveillant de manière tout à fait abrupte okay elle descendit de son lit et des escaliers afin de retrouver ses cadeaux qui l'attendait sur le sol sous le sapin . son cœur battait la chamade, était-ce le matériel d'entraînement qu'elle avait toujours voulu ? Ou encore mieux !

Elle ne pouvait attendre plus longtemps en effet elle put remarquer plusieurs cadeau attendant leur ouverture.

Elle se précipita directement sur le premier cadeau afin de l'ouvrir l'ouvrant de manière sauvage et impatiente, elle pu y découvrir un magnifique canon nouvelle génération.

« Oh là là que je suis impatiente ! »

Directement elle se dirigea vers le second cadeau portant son nom. Elle l’ouvrit comme le premier et y découvrit un bijou d’une valeur inestimable avec un petit mot à l’intérieur : elle essaya l’objet avant de lire le message, pour y voir quelque chose qui ne devrait pas exister lors d’un cadeau :

« Salut !  Voilà le nombre de liens que tu me dois pour tous tes cadeaux, parce que bon, ça coûte son prix quand même.
67878, 87 liens TTC
50, 00 Liens frais de livraison
Total : 87 928, 87 Liens
Karmijn de Noël. »

Ce Noël fut jugé comme le plus rude du monde entier, mais pas à cause des températures glaciales.